Publié dans Slice of Life

Slice of Life – Re

Comme on se retrouve… Après sept ou huit mois sans article et un an sans Slice of Life, je vous retrouve aujourd’hui pour vous donner des nouvelles, vous raconter ce que j’ai fait pendant cette période de silence radio et pour, je l’espère, relancer un peu Otome Street. Ca n’intéresse pas forcément tout le monde donc je vous propose de commencer par passer en revue toutes les découvertes que j’ai faites depuis ce début d’année et on se quittera en parlant de choses un peu plus barbantes, en l’occurrence ma vie et ce que je compte faire du blog.

FILMS

J’ai commencé l’année avec Le Tombeau des lucioles… ça met tout de suite dans l’ambiance pour 2020. C’était mon deuxième Takahata après Kaguya et une autre bonne surprise de plus. Je m’attendais à quelque chose de très tragique et, de toute façon, dès les premières minutes, on sait à quoi s’attendre pour ce qui est de la fin, et pourtant… je n’étais pas aussi préparée que je le pensais, c’est tout simplement déchirant !!!

J’ai ensuite trouvé le temps d’aller au cinéma pour voir Scandale ; je n’étais pas très renseignée sur le scandale en question et j’y suis surtout allée pour les actrices mais… pas déçue. En gros, ça parle des accusions de harcèlement sexuel contre le patron de la Fox News, une affaire qui remonte à 2016 mais qui est toujours autant d’actualité à l’ère du mouvement #MeToo. Attention cependant à ne pas ériger ces journalistes en icônes féministes : elles restent des employées de la Fox News et prônent les valeurs qui vont avec mais le film a tendance à ne pas trop mettre l’accent dessus. Sinon, il est montre très bien l’injustice et la perversion de ce genre de milieux et c’est très frustrant à regarder mais aussi très important.

Gros coup de cœur pour Dernier train pour Busan, que je voulais voir depuis longtemps sans jamais en avoir eu l’occasion jusqu’à ce que Netflix l’ajoute à son catalogue… La réaction primaire que la plupart des gens auront en lisant le synopsis, c’est d’être dubitatif-ves par rapport au fait que ça soit un film de zombie… pas la tasse de thé de tout le monde… Et j’étais pareil ! Mais les critiques étaient plus qu’élogieuses et Gong Yoo est dans le rôle principal (je m’accroche à tout ce qui me rappelle Goblin…). Après visionnage, je confirme : son succès est mérité. Ce qui est intéressant, c’est que c’est un mélange entre le film de zombies et le huis clos puisque toute l’action se passe à bord d’un train (un train qui va à Busan) (et c’est le dernier), ce qui rajoute encore plus de tension; c’est très bien pensé. On a tout : l’angoisse, l’action, et une bonne grosse dose d’émotion qui fait toute la beauté du film. 

Le jour de sa sortie sur Netflix, telle une vraie fan, j’ai regardé… Miss Americana, le documentaire sur Taylor Swift. J’aurai l’occasion d’en reparler plus tard dans cet article mais je me suis réconciliée avec Taylor Swift au cours de l’année précédente et quand on la suit depuis longtemps, c’est assez intéressant de voir comment elle a vécu ces dernières années (assez mouvementées pour sa carrière), de revoir des images de ses débuts, d’apprendre ce qu’elle traversait à cette époque, et de voir comment elle en est venue à exprimer plus publiquement ses convictions et opinions politiques.

Par la suite, j’ai revu Dernier train pour Busan avec une amie. Comme on avait aussi vu Parasite ensemble, et qu’on avait été toutes retournées par chacun de ces deux films, on s’est dit… pourquoi ne pas se pencher un peu plus sur le cinéma coréen. On a donc regardé un classique de Park Chan-wook, Oldboy. Je considère Mademoiselle comme un de mes films préférés et, comme c’est du même réalisateur, j’y suis allée les yeux fermés, mais finalement… pas convaincue. Y’a de très beaux plans, je lui laisse ça, mais j’ai eu du mal à accrocher et je n’ai été ni surprise ni satisfaite par le dénouement. Pas sûre que ça soit une opinion très populaire mais chacun ses goûts… !

On en arrive à mon ultime coup de cœur : Midsommar. C’est un très bon film d’horreur, qui a relevé le défi d’être angoissant et oppressant sans se reposer sur les jumpscares ou l’obscurité. Il s’inspire du folklore nordique et traite de deuil, de trahison, de mecs nazes et autres joyeusetés. Visuellement, c’est très propre, très bien réalisé, et niveau horreur, il y a quelques passages gores qui peuvent être choquants mais ça repose principalement sur l’ambiance de malaise, l’atmosphère dérangeante et les cris (ça crie beaucoup mais c’est très cathartique). On sait que quelque chose ne va pas, on se doute de quoi, mais on reste surpris-e-s quand les révélations tombent. Et enfin, au-delà de tout ça, c’est un film qui m’a beaucoup parlé, d’autant plus que ce que la situation de Dani faisait pas mal écho à ce que je traversais au même moment et ses réactions à elle m’ont aidé à mieux comprendre les miennes, donc j’attache beaucoup d’importance à ce film (encore une fois : cathartique). 

Après, on a une petite erreur de parcours… j’ai regardé To All The Boys: P.S. I Still Love You et si j’avais plutôt bien aimé le premier qui était… tout à fait correct dans son genre… là c’est plus possible, c’était super mauvais. Rien de cohérent, le mec n’a même plus la même personnalité, le nouveau love interest ne sert à rien et n’a même jamais eu aucune chance (alors quel intérêt ?), on s’ennuie salement et c’est… bête, l’histoire est tout simplement bête. Même en hatewatchant avec une amie, c’était pas fun.

Heureusement, après cette déception… un autre Takahata et un autre coup de cœur : Souvenirs goutte à goutte. J’ai cru comprendre que tout le monde n’en était pas fan et je doute que beaucoup le citent comme leur Ghibli préféré mais il est si simple et en même temps tellement charmant, je ne comprends pas comment on peut ne pas aimer !!! C’est juste l’histoire d’une jeune femme qui approche de la trentaine et qui n’en a que faire de se marier : ce qu’elle veut, depuis toujours, c’est aller à la campagne, travailler dans les champs etc…. Donc elle le fait ! Et tout au long de ce séjour, elle se revoit, petite. Elle se remémore avec nostalgie plein d’épisodes de son enfance, des scènes très simples mais poétiques, parfois mignonnes et parfois un peu dures, dans lesquelles on est susceptibles de se retrouver. Trop, trop beau !?

J’ai d’ailleurs profité de l’arrivée de tous les Ghibli sur Netflix pour me faire un petit marathon des films que je n’avais jamais vu ou dont je ne me souvenais plus. J’ai donc enchaîné avec Je peux entendre l’océan (dans le même genre, bien aimé aussi), Mes voisins les Yamada (moins accroché même si c’est très beau), le Royaume des Chats (vraiment pas aussi passionnant que dans mes souvenirs et pourtant je l’adorais quand j’étais petite…), Si tu tends l’oreille (un des meilleurs), Porco Rosso (super film mais pas parmi mes favoris) et Pompoko (bonne surprise mais pas nécessairement ce que je préfère non plus). Encore quelques uns à regarder et je pourrai dire que je les ai tous vus !

Après tout ça, j’ai vu La Reine des Neiges 2… Et j’étais ouverte d’esprit en le commençant parce que je n’ai vraiment (mais alors vraiment pas du tout!!!) accroché au premier mais j’avoue que, en se fiant aux bandes-annonces, la suite avait l’air pas mal ; de toute façon, il faut goûter avant de dire je n’aime pas. Verdict… Quelques scènes étaient à la hauteur de mes attentes, à savoir… toutes les scènes d’action où Elsa est solo. Elles sont superbes, très impressionnantes. Le reste, désolée, c’est pas de la mauvaise foi, mais c’est vraiment pas bon ! Les personnages sont insupportables, lourdingues, pas drôles, y’a plein de scènes super chiantes, les nouveaux personnages ne sont pas du tout exploités, on les voit à peine!, et même visuellement, y’a des décors pas du tout intéressants alors qu’on voit bien que le film a le budget et sait faire de belles choses… Je comprends qu’on puisse aimer mais je ne comprendrais jamais qu’on puisse tout aimer au point d’en faire son film préféré.

Enfin, j’ai eu l’occasion de voir Battle Royale, le OG des survival games, et j’ai passé un super moment devant mais tout le monde l’a déjà vu et j’ai l’impression de ne rien avoir d’intelligent à dire dessus… Contente d’avoir pu le barrer de ma liste. 

SERIES

Pour ce qui est des séries, j’ai commencé l’année en regardant la deuxième partie de la sixième et dernière saison de Bojack Horseman. C’est plus tout à fait ce que c’était ; j’avais déjà moins aimé la saison précédente et celle-ci est dans sa lignée… C’est pourquoi, même si cette série va me manquer et que je trouve que dans l’ensemble elle est excellente!!!, je suis contente que ça se termine. La fin n’était pas des plus satisfaisantes mais la toute dernière scène était tellement forte et belle que je suis contente que ça se soit terminé, et surtout, que ça soit terminé sur ça. 

Ensuite, après des mois et des mois sans regarder d’anime (ce qui explique, en partie, le désert qu’est devenu ce blog), j’ai eu envie de me mettre à fond dans une série, et j’ai choisi Carole & Tuesday qui, a priori, avait tout pour me plaire. Finalement… si je ne peux pas dire que j’ai été déçue, je ne peux pas non plus dire que j’ai adoré… Y’avait quelques longueurs, il se passait pas toujours des trucs grandioses et des fois je décrochais un peu et peinais à avancer. Mais c’est pas mal du tout, c’est joli, les personnages sont chouettes, la musique est excellente, et le message est beau bien qu’un peu niais (ils ont essayé de faire un truc politique un peu trop superficiel pour que ça soit efficace mais les intentions étaient bonnes…). 

A peu près au même moment, j’ai aussi regardé Followers, quasiment d’une traite tellement c’était bien… C’est par la réalisatrice et photographe Mika Ninagawa ; elle est derrière Helter Skelter, que vous connaissez peut-être, et l’adaptation du manga Sakuran, dont j’ai parlé il y a quelques temps. Elle a un univers très coloré et over the top dont je suis fan et que j’ai adoré retrouvé dans Followers ! D’un coté, on a Natsume, une jeune fille qui voudrait devenir actrice mais qui peine à décrocher des rôles et arrondit ses fins de mois en étant livreuse pour UberEats, et de l’autre, on a Rimi, une photographe dont la réputation n’est plus à faire mais qui, en plus de sa carrière, aimerait aussi avoir un enfant, enfant qu’elle élèverait seule, à défaut d’avoir un compagnon. Deux femmes que rien n’amenait à se rencontrer mais dont les destins vont malgré tout se croiser.

En plus de l’esthétique (qui, j’ai l’impression, ne fait pas l’unanimité…), les personnages sont la grande force de la série et permettent d’explorer plein de thèmes aussi intéressants qu’importants mais aussi souvent considérés comme tabous. Au-delà du caractère éphémère, superficiel et, par extension, dangereux de la popularité sur les réseaux sociaux (le thème de la série), on parle aussi d’homosexualité, de cancer du sein, de fausses couches, et aussi et surtout de femmes ambitieuses, qui tiennent à leur carrière, ne veulent pas se marier, et n’ont que faire des jugements sur leur mode de vie. Je ne peux pas lui rendre justice avec seulement un petit paragraphe mais en ce qui me concerne, c’est un gros coup de cœur avec d’inspirants et émouvants portraits de femmes, et sûrement aussi quelques défauts mais qui sont largement éclipsés par toutes ses qualités.

Followers | Site officiel de Netflix
La dream team ! j’adore ces moments.

Retour aux anime ; j’ai regardé la dernière série de Yuasa que j’aurais aimé suivre pendant sa diffusion mais les temps étaient durs… C’est donc avec un peu de retard que je me suis lancée dans Keep Your Hands Off Eizouken! et, comme prévu, j’ai adoré ! Super intéressant visuellement : les épisodes ont presque toujours un passage « storyboard » où les idées des personnages prennent vie, l’univers est original et bourré de détails et le chara-design est franchement rafraîchissant. L’histoire s’articule autour de trois lycéennes qui se réunissent pour créer un anime : Asakusa est la réalisatrice, Mizusaki l’animatrice, et Nakamori endosse le rôle de productrice. Elles sont rigolotes, un peu bizarres, débordantes d’imagination et d’énergie… c’est un cast très agréable à suivre, et je trouve ça inspire et ça motive de voir des talents se compléter pour mener à bien des projets toujours un peu plus ambitieux. 

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Publié dans Jeux

Mes retrouvailles avec Danganronpa – Danganronpa Another Episode: Ultra Despair Girls

Vous avez lu le titre, vous savez pourquoi on est ici : Danganronpa. Je ne saurais même plus dire quand j’y ai joué pour la première fois… j’avais commencé à vous écrire un long pavé sur la question mais on peut résumer en disant que j’ai commencé à m’y intéresser… probablement en 2011, un après sa sortie au Japon, alors qu’une communauté de fans anglophones avaient suffisamment eu le temps de se développer pour sortir une fantrad… puis, j’y ai rejoué en 2014 à l’occasion de sa localisation en Europe et aux US. J’ai boudé sa suite pendant un certain temps mais j’y ai finalement joué fin-2016, et j’en ai même écrit une review ! Puis après… plus rien ! A l’époque, je me serais considérée comme une fan de Danganronpa… et aujourd’hui encore, on peut dire que la franchise a « une place spéciale dans mon cœur!!! »… donc ça me fait bizarre de me dire que je n’ai pas touché à un jeu depuis presque trois ans, et que je mets la main sur les «  »nouveaux jeux » » seulement maintenant ! Le fait de ne pas avoir les consoles au moment de la sortie, combiné au manque de temps et d’argent, et… au temps qui passe… vite… ont fait que c’est seulement en cet été 2019 que je joue enfin à Ultra Despair Girls et Danganronpa V3 !

Parce qu’en effet, la sortie du spin-off Danganronpa Another Episode: Ultra Despair Girls remonte déjà à 2015 !

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Son intrigue se déroule entre les événements du premier et du deuxième jeu. On y incarne la petite-sœur du protagoniste Naegi Makoto, Naegi Komaru, séquestrée pendant toute la durée de la « Tragédie », et libérée après celle-ci, seulement pour se retrouver dans un monde de chaos et de désespoir, coincée sur une île qui lui est inconnue. Cette île est en fait la ville de Towa, et elle a été prise en otage par cinq garnements auto-proclamés « Warriors of Hope » qui ont pour but de créer un « paradis pour les enfants », paradis qui nécessite de massacrer tous les adultes. Fun ! Komaru étant une adolescente, on est en droit de se demander si elle n’a pas une chance d’être épargnée… mais pas de chance ! elle se retrouve bien contre son gré à participer à une de leur « chasse aux démons » (et je vous laisse deviner qui est le démon). Heureusement, elle n’est pas seule face à cette menace : dans sa main, un mégaphone qui lui permet de « hacker » les Monokumas sur son chemin, et à ses côtés, nul autre que Fukawa Toko.

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Ce qui fait de ce jeu un spin-off, outre le fait qu’il soit centré sur des personnages secondaires et que son intrigue soit parallèle à la trame principale, c’est aussi que le format est complètement différent. Danganronpa est une série de visual novels, mais là, on a affaire à un jeu de tir à la troisième personne ! Les habitué-e-s de la franchise ne seront pas déstabilisé-e-s pour autant : la masse de texte est conséquente, et le jeu ne manque pas de scènes cinématiques. Il y a même des passages animés par le studio Lerche, qui est également à l’origine des trois séries animées Danganronpa. Au final, on peut presque dire que c’est entre les deux : j’ai en tout cas eu l’impression d’autant jouer que de lire.

Ceci étant dit, quand on joue, on ne fait pas semblant. Le gameplay consiste principalement à tirer sur différents types de Monokumas à l’aide de différents types de munitions qu’on acquiert au fur et à mesure qu’on avance dans le jeu. J’avoue ne pas avoir pris la peine de prendre des captures d’écrans de tous les Monokumas qui apparaissent dans le jeu, mais il y en a toute une variété, et certains sont bien sûr plus durs à battre que d’autres, nécessitant parfois qu’on utilise un type de munition particulier contre eux.

Et quand parfois, tous ces combats, toute cette violence, deviennent trop dur à gérer, Komaru peut faire appel à son bras droit, Toko, ou plutôt à son alter-ego, Genocide Jack (décidément, je ne me ferais jamais à ce nom ! pour moi, ça sera toujours Genocider Sho). Elle est très puissante, ne prend aucun dégât, a une attaque spéciale assez cool, mais le temps où on peut l’incarner est cependant limité. Il est donc préférable de ne l’utiliser qu’en cas de force majeure, notamment quand on a besoin de débarrasser rapidement d’un large nombre d’ennemis.

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Publié dans Mobage

Obsession du moment: Love Live! School idol festival.

Alors… après des années passées avec des portables à touches, il m’est arrivé quelque chose d’assez incroyable, que personne autour de moi n’aurait soupçonné: j’ai abandonné mon Nokia Asha pour un iPhone 4S. Et c’est un nouveau monde de possibilités qui s’est ouvert à moi: je peux maintenant télécharger des applications !! Je ne sais pas si c’est vraiment une bonne chose parce que je ne sais pas aimer des choses sainement: j’avais à peine téléchargé mon premier jeu que j’y étais accro, et si j’écris ces lignes aujourd’hui, c’est pour vous en parler !

Love Live! School idol festival est un jeu de rythme disponible sur iOS et Android depuis 2013 (2014 pour la version anglaise). On le doit à Bushiroad et KLab. Il est bien sûr tiré de la franchise Love Live!, que vous connaissez, parce que, que vous aimiez ou non, vous n’avez pas pu passer à côté.

J’aime beaucoup ce genre de jeux, j’ai joué à Osu! pendant des années et des années, et quand j’ai vu une de mes amies jouer à ce jeu qu’on abrégera LLSIF, j’ai tout de suite accroché; dès que j’ai su que j’allais peut-être avoir un iPhone, la seule chose à laquelle je pensais, c’est que j’allais enfin avoir un portable sur lequel je pouvais y jouer. Pourtant, je me suis jamais intéressé à ce titre, j’ai bien essayé l’anime mais… vraiment pas fan. Mais ce jeu-là… est addictif!!!, et donc maintenant, ça fait environ un mois que j’y joue!, du coup, je suis pas encore très douée et je suis pas très loin dans l’histoire. Je suis pas une experte, j’ai pas encore vu tout ce qu’il y avait à voir, mais j’avais très envie de vous en parler, et de partager un peu avec vous tout ce que j’ai fait jusqu’à présent.

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Le gameplay ! Tout commence avec un mode Histoire (il y a 33 chapitres contenant chacun trois ou quatre histoires donc y’a de quoi faire), sous forme de kinect novel: on suit les membres de μ’s et, au fur et à mesure qu’on avance dans les chapitres, on débloque des chansons à jouer en « live ».
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C’est un jeu de rythme, donc très simple: il faut taper sur les cercles en rythme avec la musique (il faut aimer la musique d’idol, c’est de la pop édulcorée, c’est pas au goût de tout le monde j’imagine). Parfois il faut appuyer sur taper sur deux cercles en même temps, parfois il faut rester appuyer un certain temps,… La difficulté augmente en fonction du mode: Easy, Normal, Hard ou Expert. En fonction de notre score, on obtient une note entre D et S. On pourrait croire que c’est pas plus compliqué que ça, mais il faut plus que le sens du rythme pour obtenir un bon score.

Sur LLISF, le but, c’est aussi de collectionner des cartes. Et avec les cartes qu’on collecte, on se constitue des équipes. Toutes les cartes du jeu sont réparties en trois catégories: Smile, Cool et Pure. Et ça tombe bien, parce que les chansons sont elles-aussi réparties dans ces trois catégories. Ce qu’il faut alors se faire, c’est au minimum trois équipes: une équipe de cartes Smile, une autre de cartes Cool, et une dernière, de cartes Pure.

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Mais ce n’est pas avec n’importe quelles cartes qu’on fait une bonne équipe. Elles sont classées selon leur rareté: N, R, SR et UR.

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Publié dans Chronique

Meet my Animal Crossing-self.

J’ai l’impression d’avoir passé ma vie à jouer à Animal Crossing. Vous voyez, je suis pas une grande amatrice de jeux-vidéos, et j’ai toujours trouvé ça un peu trop cher. Mais il y a quelques rares titres pour lesquels j’ai littéralement dépensé des centaines d’euros, et l’un d’eux, c’est… Animal Crossing (!). J’ai acheté une Game Cube pour Animal Crossing, une DS pour Wild World, et j’ai placé toutes mes économies dans une 3DS pour New Leaf. Je joue à ce dernier opus depuis un peu moins de deux ans maintenant; et… j’avais pour projet de parler un peu des nouveautés qu’on y trouvait, mais je viens de réaliser qu’il est sorti en juin 2013 et que j’arrive peut-être un peu tard pour en parler. … Tant pis !

Alors avant de commencer, je crois que je devrais un peu vous donner deux/trois détails sur le jeu, mais… honnêtement, dans quelle genre de contrée reculée faut-il habiter pour ne pas savoir ce que c’est Animal Crossing. Quand j’étais petite, encore plus petite que je ne l’étais déjà aujourd’hui, Wild World était un véritable phénomène, c’était assez dur de passer à côté. Du coup, je ne pense pas qu’une présentation du jeu soit nécessaire, mais… comme on ne sait jamais:

En gros, Animal Crossing est un jeu type « simulation de vie »; on débarque dans un petit village, peuplé d’animaux anthropomorphes, et… on vit notre petite vie, il y a plein de choses à faire, d’activités diverses et variées, mais le vrai but, c’est surtout d’avoir beaucoup d’argent et de collectionner un max de trucs. Il y a 4 opus disponibles en France: Animal Crossing sur Game Cube, Animal Crossing: Wild World sur DS, Animal Crossing: City Folk sur Wii, et Animal Crossing: New Leaf sur 3DS (c’est celui dont on parle dans cet article!!).

Alors heureusement, ces jeux ne sont pas des copies plates les uns des autres, ce n’est pas que la plateforme qui change: Animal Crossing évolue, chaque nouveau jeu apporte son lot de nouveautés, tant et si bien que, à chaque fois, on se demande ce qu’on foutait dans l’opus précédent. C’est particulièrement le cas avec New Leaf: j’ai passé des années de ma vie à gaspiller des heures et des heures de mon temps sur Wild World, et pourtant quand je joue à New Leaf, je me demande bien ce qu’il y avait de si passionnant à faire avant. Mais bref, avant de passer à toutes les nouvelles fonctionnalités, il y a quelqu’un qu’il faut que je vous présente.

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C’est moi. Le moi d’Animal Crossing. Alors oui, lorsque j’ai créé ma partie, j’étais encore dans cette sombre période de ma vie où je me faisais appeler Regaru. Je suis donc le Maire Regaru et je n’en suis pas très fière, mais je suis trop loin dans ma partie pour tout recommencer juste pour pouvoir changer de pseudo… Je suis maire de TOKYO-3 !, référence à Neon Genesis Evangelion, j’espère que vous l’avez tous comprise tout de suite !(!!). Et comme vous pouvez le voir, je suis un maire plutôt mignon.

Reggy

4914 – 3814 – 4301

J’ai une ville un peu trop naze pour avoir un code onirique, mais si vous voulez qu’on se fasse une petite partie wifi dans ma ville ou dans la vôtre, n’hésitez pas à m’ajouter à vos amis ! Même si vous n’avez pas Animal Crossing, mais que vous avez une 3DS et que vous voulez m’ajouter à vos amis, ça marche aussi: mon code ami est ci-dessus, donnez-moi le vôtre dans les commentaires !

Ceci étant dit !, on va passer aux nouveautés, à toutes les choses que vous pouvez faire (et ne pas faire !) dans le jeu, et par le biais de ce listing, je pourrais vous dire un peu plus de choses au sujet de ma ville.

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