Norn9: Var Commons, sorti sous le nom de « Norn9 ~Norn + Nonette~ » au Japon en 2013.
J’ai toujours du mal à dire que j’ai détesté un visual novel après avoir passé autant de temps dessus. A force d’heures et d’heures passées avec ces personnages, je m’y attache toujours un peu quand même, à eux et leur univers, même si parfois, il faut voir la vérité en face!, je me suis profondément ennuyée avec un jeu. C’est exactement le cas avec Norn9.
Et je vous préviens, ma politique, c’est… si j’aime, je spoil pas parce que je tiens à ce que vous découvriez les choses par vous-mêmes, et si j’aime pas, je me fais plaisir, je vous raconte tout pour que vous n’ayez justement pas à vous infliger ça.
Norn9 commence avec Sorata. Regardez-le bien parce qu’une fois le prologue terminé, vous allez tellement peu le voir que vous risquerez d’oublier qu’il est sur le vaisseau. Sorata, donc. Jeune garçon, en sortie scolaire. Il ne prête pas attention à la visite guidée, quand soudain, il entend une chanson qui ne semble atteindre que ses oreilles à lui, et ni une ni deux il est téléporté à l’ère Taishou. Là, il fait la rencontre de la jeune Koharu, qui lui proposera de la rejoindre au bord d’un mystérieux vaisseau rassemblant tout un groupe de jeunes aux pouvoirs allant de la télépathie à la création de barrières protectrices. Ils partent pour un voyage sur les ordres de « The World », une organisation chargée de la paix dans le monde.
D’entrée, ce qui m’a tout de suite plu, c’est que le jeu a non pas une, ni même deux, mais trois héroïnes ! Je ne sais pas si on peut dire que c’est du jamais vu, mais en tout cas, moi, c’est la première fois que je vois ça.
Koharu est la première dont on fait la connaissance. Elle a vécu toute sa vie isolée à cause de son pouvoir. Manque de contact humain oblige, elle a beaucoup à apprendre niveau relation sociales, et est assez naïve du monde qui l’entoure.
Typiquement le genre de personnage que je déteste !! Enfin, je simplifie; Koharu en elle-même n’est pas détestable, mais le cliché de la fille qui vivait coupée du monde, c’est toujours la bonne excuse pour rendre le personnage ultra-innocent et en faire ce genre de ~vierge effarouchée~ devant qui on fait plein de remarques graveleuses qui lui passent au-dessus de la tête et qui rougit à la moindre idée d’un baiser. Elle est quand même attachante, et se révèle être très capable!, mais elle incarne un archétype qui m’horripile et elle méritait mieux.
Mikoto, c’est la gosse de riche aux grandes responsabilités, un peu hautaine mais toujours là pour les autres. Elle protège le vaisseau à l’aide de son pouvoir.
Quant à Nanami, elle pourrait d’abord donner l’impression qu’elle est froide et Ayanami Rei-esque, mais… pas tant que ça. Elle n’est pas très bavarde mais elle est rigolote et sociable bien qu’elle évite de trop s’attacher. *spoil*Et son pouvoir, c’est de rendre les gens amnésiques !! si subversive comme héroïne ! pour une fois que les rôles sont inversés !*fin*.
Quoi qu’on pense de chacune de ses héroïnes, elles ont chacune une personnalité bien distincte (et même une voix ! une denrée si rare pour les héroïnes d’otome games !), ce qui nous évite déjà la coquille vide faisant guise de « self-insert ». Et comme elles ont chacune trois potentiels copains, ça fait plein de routes ! plein de possibilités ! Je sentais que j’allais bien m’amuser.
Mais c’était un piège.
On a beau voir l’histoire à travers les yeux de trois héroïnes différentes, et avoir autant de copains qu’on veut, à force, on commence à la connaître par cœur, et ça se répète et se répète et se répète… Et quand y’a de petites différences, elles n’ont aucun sens et rendent l’histoire encore plus absurde qu’elle ne l’est déjà.
On reviendra à l’histoire plus tard. Passons d’abord en revue les routes. J’ai d’abord fait toutes les routes de Koharu, puis toutes celles de Mikoto, et enfin Nanami, mais !, je ne vous conseillerais pas de faire pareil. Pour profiter un maximum du jeu, il vaut mieux garder Masamune, Ron, et Natsuhiko pour la fin. Sur ce…
Les prétendants de Koharu sont Kakeru, Senri et Masamune. Je sentais déjà que j’allais me faire chier parce qu’aucun personnage ne me plaisait… et ça n’a pas loupé.
Kakeru… vaut mieux le faire en premier parce que son passé est révélé dans un bon nombre d’autres routes et ça serait dommage de le découvrir avant même de jouer la route du personnage en question. Il est lié à un personnage très important pour l’histoire mais finalement ça n’a pas grande importance puisqu’il ne sert à rien.
Mec lambda d’otome games, il est gentil, un peu sournois mais toujours très attentionnée avec l’héroïne, c’est une romance très banale et sans saveur.
Senri est encore pire, il est bien mignon mais il ne se passe absolument rien dans sa route. Il ne sort jamais de sa chambre et n’éprouve aucun intérêt à se socialiser. Bien sûr, au contact de Koharu, il s’ouvre un peu plus et apprend à faire confiance aux autres,… blabla, je pouvais pas en avoir plus rien à foutre, honnêtement.
Masamune, l’aîné de la bande, mature et responsable, avait une route déjà un peu plus agréable. La romance ne m’a pas convaincu, parce que le décalage entre Koharu et lui était trop grand, j’avais l’impression que même s’il lui portait de l’affection, il ne la prenait pas vraiment au sérieux et la voyait plus comme une enfant. Mais des trois routes, c’est quand même celle que j’ai le plus aimé, surtout qu’à un moment, il porte des lunettes et alors là ! j’étais vendue !
La fin était horrible par contre, *spoil*même si c’est pour « me protéger », je ne vois rien de plus horrible d’effacer ma mémoire contre mon gré*fin*.
Les love interests de Mikoto me plaisaient déjà un peu plus, mais à ce stade, j’en pouvais déjà plus de l’histoire, j’étais malade à l’idée de me le retaper une quatrième fois.
C’est donc tant bien que mal que j’ai enduré la route de Sakuya, l’inimitable et indispensable ami d’enfance. Il me plaisait bien dans les autres routes, mais il était insipide la moitié du temps. L’autre moitié, il la passait à être lourd avec ses histoires de ~promesses~. Toute leur vie tourne autour de cette « promesse » née d’une « vision » de Sakuya quand ils étaient gosses. Ils se pourrissent la vie alors que son pouvoir est à peine fiable, il entrevoit des fragments du futur mais qui sont susceptibles de changer, donc ce qu’il « voit » n’est peut-être même pas un futur certain mais juste une « possibilité ». C’est qu’un défaut de son pouvoir de clairvoyance parmi mille autres… Bref, au moins il était beau. Mikoto dit penser que Sakuya est le plus bel être sur lequel elle ait posé les yeux, et je le pense aussi. En plus, il est doublé par la géniale Saiga Mitsuki !
Itsuki est un peu plus fun, je ne me souviens pas que sa route ait un grand intérêt pour le scénario mais au moins il était taquin et mettait un peu d’ambiance. Ils ont même couché ensemble !! Et avant ça, j’étais à des lieux de me douter qu’il y aurait du sexe dans ce jeu, mais pourquoi pas après tout, il faut bien s’occuper sur ce vaisseau !
Vient ensuite Natsuhiko, qui n’est même pas sur le dit vaisseau, c’est en fait l’antagoniste qui essaie d’empêcher le groupe d’atteindre sa destination (en les tuant, pour être vraiment efficace). Et laissez-moi vous dire !! que c’était la meilleure route de tout le jeu ! Déjà parce qu’encore une fois, on s’y envoie en l’air, mais aussi parce qu’elle ne ressemble à rien de ce qu’on a vu précédemment; c’est la première et la seule fois que le scénario change un petit peu et que les choses bougent !
Après, c’est loin d’être parfait. Les choses avancent entre Mikoto et Natsuhiko parce que *spoil*ce dernier perd la mémoire*fin*… C’est un peu trop facile… mais bon… heureusement, ils s’étaient déjà pas mal rapprochés avant; c’était quand même bien pratique qu’il ~oublie~ qu’il est « le méchant ». …Dans l’ensemble, et comparé au reste, c’était quand même très bien; c’était un vent d’air frais pour moi!, j’ai passé un très bon moment avec cette route.
Retour à la réalité, j’ai dû enchaîné avec Nanami, et la route d’Otomaru… Otomaru dont j’aimais bien la personnalité dans les autres routes et qui m’apparaissait adorable !! Et…. il était juste chiant. Mais… quand je dis chiant, et je sais que je l’ai déjà beaucoup dit, c’est… encore plus chiant que Kakeru et Senri. La romance est mignonne, je dois l’admettre, mais… sans plus… y’a toute une histoire de « test de courage » qui se traîne un peu, et la route n’a aucun rapport avec le scénario.
Akito, c’est déjà le niveau au-dessus parce qu’il a déjà un passé avec Nanami, en plus d’un lien avec un autre membre du groupe,… il a un certain intérêt. Et il est un peu tsundere sur les bords, donc… il a ses moments attendrissants. Cela dit, j’approchais de la fin du jeu, et une fois la grande révélation faite, il me restait plus qu’à me retaper l’histoire que je connaissais déjà et j’en avais tellement marre que je voulais juste… finir, et j’ai parfois survoler certains dialogues parce que je savais que je ratais rien.
Enfin ! Ron ! Qui, certes, a une mauvaise vue, mais ça ne devrait pas l’empêcher de reboutonner sa chemise ! C’est un sale type et sa romance avec Nanami est très mal construite, rien ne la justifie et elle sort un peu de nulle part, mais au moins, sa route était intéressante, et changeait un peu des autres. La fin… par contre… *spoil*encore le recours à l’amnésie ! Je ne pensais vraiment pas que j’allais en venir à plaindre Ron, mais Nanami lui efface tous ses souvenirs pour qu’il oublie qu’il est « le méchant » (cette grosse facilité scénaristique vous dit-elle quelque chose ?) et sa vie se résume alors à vivre dans une cabane, coupé de la civilisation (puisque plus personne ne veut lui adresser la parole), réduit à ne rien faire si ce n’est aimer Nanami, que cette dernière est désormais libre de modeler à sa guise #couplegoals*fin*.
C’est tout ce que m’inspirent les routes de Norn9… Je crois que le souci, c’est que l’histoire est très mal rythmée. Le scénario est pourtant très étoffé (un peu trop, même), mais pendant la majeure partie de l’histoire, il ne se passe rien au profit de la romance; on meuble avec les aspects de la vie de tous les jours à bord du vaisseau mais pendant ce temps, l’histoire n’avance pas. Le comble, c’est la séquence dans le « rêve » qu’on se tape dans chaque route aussi inutile soit-elle mais qu’on peut heureusement « skip ». C’est seulement pendant le dernier chapitre que Norn9 se réveille, fait arriver les personnages à leur fameuse destination et balance toutes les informations d’un coup.
Et les informations en question ne valent vraiment pas le détour. Ce jeu voulait faire trop de choses mais à force, ça ne tenait plus la route du tout.
En fait, (et attention, ça va spoiler sévère!), le groupe a été un peu mené en bateau (ou plutôt en vaisseau, lol!!!) par Masamune: ils ne voyagent pas, ils font du sur place, et se rendent en fait sur une vieille île quasi-déserte où réside « Aion ». Une humanoïde qui représente « The World », et qui a la capacité de « remettre le monde à zéro ». En effet, l’humanité, à force d’évoluer, fini toujours par se tourner vers la guerre. Et pour empêcher les guerres, et garder l’humanité sur le droit chemin, une assemblée de scientifiques a décidé qu’il serait plus judicieux de raser complètement le monde et tout recommencer. On appelle ça « The Reset », et on y a déjà eu recourt de nombreuses fois. C’est au groupe détenant les pouvoirs que revient la décision de le faire ou non.
Ce que je n’ai jamais compris, et c’est pas faute de m’être farci les explications neufs fois de suite, c’est… l’intérêt… de donner ces pouvoirs à ces gosses. A la base, c’est Aion qui les déteint, et qui les transmet à des « élus ». Ces derniers sont alors rassemblés sur ce vaisseau appelé le Norn; ce pseudo-voyage est destiné à les rapprocher et à estimé s’ils sont dignes de prendre la décision (le Reset a plus de chances d’efficacité s’ils sont émotionnellement proches les uns des autres). S’ils décident que remettre l’humanité à zéro est nécessaire, alors ils redonnent leurs pouvoirs à Aion, qui se charge alors de la cette lourde tâche. Le processus me semble atrocement compliqué, et leur donner ces pouvoirs ne les aide en rien à prendre une décision. Surtout si ce n’est même pas à eux de les utiliser pour faire le Reset. Et pourquoi leur donner cette responsabilité à eux ? En quoi sont-ils mieux placés que… n’importe qui d’autre… à prendre une pareille décision sous prétexte qu’ils ont eu ces pouvoirs et ont passé un peu de temps ensemble ?
Et c’est loin d’être le seul plot hole, mais c’est… le pire, je pense. C’est certainement pas l’épilogue (où Sorata revient enfin sur le devant de la scène) qui aide à éclaircir quoi que ce soit (au contraire).
En plus, le dialogue était parfois super sexiste et les CG n’étaient pas terribles (aucune ne rend justice à Sakuya par exemple). Le point positif, c’est que la traduction était pas aussi terrible que ce à quoi je m’attendais, et pourtant elle a mauvaise réputation (mais depuis Taisho x Alice, j’ai appris à relativiser).
En plus, la plupart des fins, voire toutes les fins, laissent entendre que la « vie idéale », la « happy ending » par excellence, c’est de vivre dans une forêt reculée, seule avec son amoureux et les animaux, avec un contact au monde extérieur très limité. Qui ça intéresse les amis, la vie active, les voyages,… quand on peut très bien s’épanouir en faisait la cuisine et des promenades ? Et au moindre problème dans le couple, il suffit d’effacer toute la mémoire de son conjoint pour être libre de le remodeler en parfait prince charmant, ou en parfaite princesse captive. Ca ne me parait ni romantique, ni sain, mais hé!, chacun son truc !
Bref; d’habitude, je parle toujours un peu des mécaniques mais là y’a rien de spécial à signaler. C’est même pas une critique négative, juste une constatation. Le menu donne la possibilité de voir la galerie de CG, d’écouter les différents morceaux de la bande-son, de jouer à un mini-jeu auquel j’ai jamais touché, et de lire les « side stories » de chaque personnage (qui étaient encore plus ennuyantes que le reste du jeu, au bout de la cinquième, j’ai arrêté de me fatiguer et j’ai ignoré les suivantes) (on ne sait même pas où exactement elles se placent dans l’histoire ?).
Pour les débloquer, il y a un système de points un peu inutiles. Autant tout de suite dire que « terminer une route » = « débloquer une side story » au lieu de dire « vous avez gagné 100 points qui ne servent à rien d’autre à part débloquer une side story ! » ça aurait été plus court.
Pour gagner des points, on peut aussi regarder la « Hiyoko TV » à certains moments du jeu. C’est nul (j’ai aussi survolé) et ça casse le rythme de l’histoire qui n’a vraiment pas besoin de ça… Et vous allez me dire « Hiyoko TV ? Qu’est-ce que c’est donc qu’ « Hiyoko » ? » hé bien, le vaisseau est peuplé de poussins-robots qui ne servent à rien, tant et si bien que j’ai même pas eu l’occasion de les mentionner avant, voilà, question suivante.
Dernières particularités, les personnages ont des jauges d’affection indiquant si vous vous rapprochez de la good end. Enfin, certains choix sont timés, il faut répondre dans un délais de, généralement, dix secondes,…
Et… on doit avoir fait le tour. Comme je le disais au début de cet article, je ne peux pas non plus dire avoir détesté Norn9, tout n’était pas à jeter et après plus d’une semaine passée aux côtés des ces personnages, je mentirais si je disais que je ne m’étais pas un peu attachée à chacun d’entre eux, mais… ça ne suffit pas à sauver la daube qu’est pour moi ce jeu. Si toutefois, vous êtes tentés…
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Il existe deux fandisks qui n’ont pas encore fait leur chemin jusqu’à chez nous (et ça n’a pas l’air d’être au programme), ainsi qu’un anime sorti l’année dernière et qui, comme la plupart des adaptations d’otome games, n’a pas très bonne réputation.
Whaaaa je suis surprise que tu aies détesté à ce point x) (mais j’ai bien rit)!
Et dire que je te l’ai vendu comme pas trop mal! Pour moi ça reste un bon souvenir, mais je n’y ait pas joué sur 9 jours… (plutôt 9 mois…).
Au moins ça me fait plaisir que la route de Natsuhiko t’ait plu car c’est de loin celle que je préfère aussi. D’où l’intérêt de la garder pour la fin, j’ose même pas imaginer comment on doit s’emm**** sur les autres de Nanami après oO (même si le coup de l’amnésie, oui, ras le bol). Et puis bon c’est aussi l’une des moins problématiques car Norn9 c’est aussi beaucoup de problèmes de violences (verbales, physiques, sexuelles) qui sont romantisées, des baisers (et autres) au consentement douteux, du harcèlement aussi (coucou Kakeru). + le soucis de l’age, deux héroïnes sont mineures et vivent des romances avec des personnages clairement décrits comme adultes (hello Masamune, hello Ron)
Par contre j’ai bien aimé les séquences de rêve et les Hiyoko TV (pour moi c’est le truc à la con le plus drôle et wtf « qu’est ce que ça fout là ») Je crois que je suis vraiment très bon public !
C’est un mal pour un bien je suppose haha
Peut-être que sur neuf mois, les répétitions sont plus faciles à digérer ? parce que là…..
Ah, j’ai mal géré le truc c’est clair !! même si ça m’a pas fait de mal d’avoir Natsuhiko au milieu parce que je perdais espoir en ce jeu je te jure, si j’avais dû attendre la toute fin pour ENFIN avoir une bonne route j’aurais peut-être pas tenu haha, mais effectivement, ça gâche les routes de Nanami.
C’est malheureux mais ça me surprend même plus le « consentement douteux » comme tu dis. J’étais tellement choquée (dans le meilleur des sens du terme!) de pas y avoir affaire une seule fois dans Code: Realize, mais là, retour à la réalité……… Même Sakuya ! j’aurais jamais pensé ça de lui et quand il a plaqué Mikoto au sol j’étais « !!!?????!!!!! ».
Les âges je m’y attendais parce que j’avais vu les profils des personnages sur vndb et ça m’avait fait roulé des yeeeeeux comme jamais. Masamune a 24 ans, et Ron, 25.
Le rêve, j’ai détesté, mais Hiyoko TV ça allait au début, je crois que je suis juste devenue aigrie au fil des routes haha j’en ai eu marre.
Merci pour ton commentaire en tout cas ça me fait plaisir qu’on puisse enfin en discuter !
Je voulais seulement te dire que j’écris jamais de commentaire mais je te lis tout le temps. 🙂
J’adore tes reviews otomeeees gameees, c’est vraiment un des trucs que j’adore.
Franchement, je te lis depuis l’époque hitorabu et je suis toujours aussi fane. D’ailleurs, t’as plus ton ask ? ._. Je lisais tout le temps ton ask et malgré que je sois plus veille que toi de 2 ans, tu m’as en quelque sorte éduquée d’un point de vu LGBT et donc thx.
Le seul petit « » » »reproche » » » que je puisse faire, j’ai eu une OVERDOSE de Free ( moins maintenant mais ce truc D ANNIVERSAIRE, j’en pouvais pluuuuus) et Yuri on Iceeeeeee; C’est pas vraiment un reproche puisque c EST ton blog et c’est tes gouts mais quand t’es pas très fanes de ces 2 animes, t’es en modeee » y a pas d’autres news plus intéressantes ? » mdrrr
Et sinon, tu fais plus d’articles où tu racontes ta vie ?
Merci ! ça me fait toujours plaisir de recevoir des commentaires de gens qui me suivent depuis longtemps !
Ca tombe bien, parce que j’essaie d’en faire le plus souvent possible !
Et non, je n’ai plus Ask depuis un moment. J’avais l’impression d’en avoir un peu fait le tour, et la plateforme était de plus en plus inactive.
Sans rancune pour Free!, même moi j’en avais marre des anniversaire à un moment, c’est pour dire !! Par contre, pour les autres nouveautés sur Free! et YOI, je ne peux rien promettre… (et encore, YOI je me retiens sinon j’en aurais un blog entièrement consacré haha).
Si, bien sûr, et ça porte toujours le même nom ! https://otomestreet.wordpress.com/category/slice-of-life/
Bon j’ai pas fini le jeu – c’est un pur calvaire mais je m’accroche xD – mais je suis globalement bien d’accord avec toi. Le jeu a un gros problème de rythme avec des passages inutiles mais aussi un gros problème d’écriture. Le fait d’avoir un traitre à bord du vaisseau aurait du logiquement donner une tension dramatique, à rendre les interactions douteuses entre chaque personnage mais NAN tout le monde s’en FOUT (sauf Mikoto qui passe pour une chieuse), on fait mumuse, on joue aux cartes, on plante les choux etc..MAIS VOUS POUVEZ MOURIR BANDE DE DEBILES.
Bon c’est peut-être parce que je fais Collar x Malice à côté (parce que j’étais en dépression nerveuse avec ces autres abrutis et leur quête de paix ennuyante), mais avoir une tension dramatique, savoir qu’on peut crever à tout moment et des personnages qui ne sont pas de gros débiles, ça fait du biiiieeeeeeen.
Voilà. Comme je le dirais sur ma chronique de Norn9 (que je publierai après avoir fini, parce que je suis maso et que peut-être que j’aurai des surprises même si j’en attends plus rien, j’en suis venue à le continuer sur ma pause déjeuner et ça passe BEAUCOUP mieux.
Oui ! Très juste ! J’avais pas relevé et pourtant !!! Merci de l’avoir pointé, c’est vrai qu’il y avait effectivement plus que matière à créer de la tension, mais c’est tout plat, mou, et personne ne se formalise de cette histoire de « traître ». Déjà que le rythme est… catastrophique… ça aurait pu être sauvé par un semblant de tension, mais que dalle. C’est pour ça que j’ai aimé les routes de Natsuhiko et Ron; c’est toujours aussi mal écrit mais au moins ça bouuuuge.
Et courage pour finir le jeu, j’ai cru que j’en verrai jamais le bout.