D’habitude, je fais un effort avec mes titres, mais là le nom du jeu se suffit à lui-même. Uma no Prince-sama est un otome game sur portable sorti cette année chez USAYA Co., disponible depuis peu dans nos contrées sous le nom de My Horse Prince.
Les princes sont toujours à dos de cheval blanc, n’est-ce pas ? C’est dans cette optique là que notre héroïne prend des vacances dans un ranch. Mais elle n’y fera pas vraiment la rencontre à laquelle elle s’attendait…
Yuuma est un cheval, mais le twist, c’est qu’il a le visage d’un ikemen. On en oublierait presque le reste de son corps…
Si vous me connaissez un peu, vous savez que je suis une grande fan d’Hatoful Boyfriend, donc quand j’ai entendu parler d’un dating sim avec un cheval, j’ai foncé. Et c’est exactement ce à quoi je m’attendais: très fun et complètement absurde. Il y a peu d’otome games qui valent vraiment le détour sur portable, c’est souvent assez limité niveau contenu, mais c’est juste le bon format pour un OVNI comme « UmaPri ».
Le jeu ne prétend pas avoir une histoire, c’est juste un concept rigolo et décalé pour passer le temps. A chaque chapitre, une activité différente s’offre à vous. Par exemple: dans le premier chapitre, vous devez taper sur les carottes qui apparaissent à l’écran pour nourrir Yuuma. De chapitres en chapitres, on suit ce même principe: on tape sur des trucs pour que notre nouveau petit-ami à sabots dépense son énergie. Pour ne pas l’en vider complètement non plus, il faut lui faire la conversation. Vous avez à chaque fois trois choix différents et selon votre réponse, vous gagnez des cœurs. Le but est de remplir la jauge pour débloquer une scène romantique et passer au chapitre suivant.
On a vite fait le tour mais ça a le mérite d’être divertissant, et personnellement c’est le genre de connerie que j’aime bien. La seule contrainte, c’est que pendant un chapitre, on peut parler à Yuuma trois fois, et après il faut attendre 30 minutes avant de pouvoir lui reparler. Mais c’est pas grand chose comparé à certains otome games qui font parfois attendre le jour suivant pour donner accès à plus de chapitres… En plus, y’a moyen de débloquer une conversation supplémentaire en regardant une pub; c’est pas mal.
Je me doute que vous êtes sous le charme (je ne juge pas!!), et ça tombe bien parce qu’il est dispo en anglais gratuitement depuis le 8 décembre sur iOS et Android !
Retour au mois d’avril: j’ai écrit un article sur mon obsession du moment, Love Live! School Idol Festival. J’avais promis une suite, pour montrer un peu mon évolution dans le jeu, et j’avais prévu de faire ça après l’acquisition de ma première UR. Hé bah mon UR, je l’attends toujours… haha… ha…
Je fais quand même une update parce que bien des mois ont passés depuis avril, j’ai maintenant ma partie depuis mars donc j’ai quand même quelques cartes à montrer. Et surtout, en mai, j’avais fait un article pour présenter la version 3.0 et parler un peu de la 4.0 qui venait d’être annoncée. Et elle est disponible dans nos contrées depuis avant-hier ! Alors en même temps, je vais un peu parler de ça.
Tout l’intérêt de cette nouvelle version, c’est que les Aqours ont rejoint LLSIF. Donc, première nouveauté, un nouvel écran d’accueil avec les héroïnes de Love Live! Sunshine. Pas d’inquiétude, ce n’est pas pour autant que μ’s a disparu: vous pouvez altérner entre le mode μ’s et le mode Aqours grâce aux boutons qui se trouvent sur les pages Live Show et Scout.
Si vous quittez le jeu en mode μ’s, vous retrouverez l’ancien écran d’accueil. Si jamais il vous manque trop.
Avec ce nouveau groupe viennent évidemment plein de nouvelles cartes, et de nouvelles chansons ! Des cartes des membres d’Aqours bien sûr, mais aussi des nouvelles normies.
Le design des cartes a changé: je crois que je les préférais avant mais c’est peut-être juste une question d’habitude, j’ai pas envie de dire qu’elles sont moches, ça serait une exagération, mais je suis pas fan. Sans oublier le plus important: il y a aussi un tout nouveau type de carte: les SSR, dont le niveau de rareté se situe donc entre la SR et l’UR. J’ai piqué l’image sur le wikia de Love Live! parce que je n’ai, évidemment, pas encore de SSR… … haha. Ah.
Plein de nouveaux « goals » aussi du coup ! C’est l’occasion de choper plein de love gems, friend points et cartes de toutes les idols d’Aqours. C’est aussi la fin des « daily goals », jouer votre premier live show de la journée vous garantira d’un seul coup ces récompenses.
Ce n’est pas que les cartes qui ont changé, l’interface de la liste des membres s’est refait une petite beauté aussi. L’écran affiche beaucoup plus de cartes qu’avant. Et les « support members » ont maintenant leur propre onglet.
On peut maintenant trier nos cartes de manière beaucoup plus précise, et sélectionner les « pratice partners » peut se faire de façon automatique. On peut aussi faire beaucoup plus de teams qu’avant, et la fonction « auto » pour en former s’est aussi précisée.
Vous aurez aussi remarqué la nouvelle section « School Idol Skills » sur la page Members. En fait, à chaque fin de live shows, vous gagnez maintenant des points qui aident à remplir la jauge ouvrant la « reward box ». Ce qu’on y gagne, entre autres, ce sont des « skills ». Ils servent tout simplement à améliorer les performances de vos cartes. Allez dans la liste de vos membres, choisissez une cartes et vous verrez des vignettes où vous pouvez ajouter des skills, pour, par exemple, augmenter les « Cool points » de la carte.
Notez aussi de nouveaux boutons: « Idolized » (permet d’alterner entre la version idolizée de la carte et la normale, c’est plus pratique que d’aller dans l’Album à chaque fois) et « Partner Up » (pour afficher une carte sur votre écran principal; avant c’était par défaut le leader de votre main team).
Aussi, on peut maintenant idolizer une carte avec des stickers, mais il en faut un nombre pas très raisonnable, donc je sais pas si c’est une fonctionnalité qui va être très utilisée ? Le nombre de stickers augmente en fonction de la rareté de la carte à idolizer, donc ça monte très haut et quand on sait comment obtenir les stickers, ça vaut pas tellement le coup.
Il y a aussi une nouvelle jauge d’XP pour augmenter le skill d’une carte, ce qui rend la tâche beaucoup plus facile !
Enfin, dans les B-sides, vous pouvez jouer un « random choice », une chanson aléatoire qui rapporte plus de points pour la reward box.
A venir:
– Maintenant que les modes Expert sont disponibles pour toutes les chansons, un nouveau mode viendra bientôt le remplacer: on en a déjà parlé, c’est le mode Master.
– Bientôt un nouveau type d’event que vous connaissez déjà si vous avez la version JP du jeu: le challenge festival !
Je pense que j’ai fait le tour de tout ce qu’il y a de nouveau sur cette version 4.0, mais si j’ai loupé quelque chose, n’hésitez pas à me le dire ! J’espère que ça en aura aidé certains. Maintenant, parlons un peu de mon évolution.
Surprenant titre, non ! Parce que vous savez ce que je pense des otome games sur téléphone, j’en ai parlé y’a pas bien longtemps, et si vous n’avez pas lu mon article sur le sujet, je vais vous le résumer en une phrase: les dating sims sur téléphone sont toujours nuls.
Et pourtant, c’est sur l’un d’eux que je passe mon temps en ce moment, et dont je vais vous parler aujourd’hui en allant même jusqu’à prétendre que c’est le meilleur.
Mystic Messenger: un nom qui vous dit peut-être quelque chose parce que, l’air de rien, l’application est assez populaire depuis quelques temps. C’est un otoge coréen développé par Cheritz.
L’héroïne que nous incarnons télécharge une application de chat, pensant qu’elle va pouvoir discuter avec plein de beaux gosses… c’est d’ailleurs exactement ce que je pensais que ce jeu allait être, alors qu’elle ne fut pas ma surprise, et celle de l’héroïne, quand nous nous sommes fait « hacker » et rediriger vers le chat de la R.F.A. Je sais ce que vous vous dites: moi aussi, au début, tout ce que ça m’évoquait, c’était la République Fédérale d’Allemagne, mais c’est en fait la Rika’s Fundraising Association. Le chat sur lequel nous sommes est donc celui qu’utilisent les membres de l’association pour communiquer, et on apprend que cette dernière n’est plus très active depuis le décès de la fondatrice, Rika. Elle organisait de grandes fêtes avec des invités venant de tous les milieux, et récoltait des fonds pour des associations. Mais voilà un an et demi qu’elle est partie, et plus personne n’a la motivation d’organiser des fêtes sans elle.
Tout est chamboulé quand notre héroïne débarque sur le chat. Non seulement un mystérieux hacker lui a donné accès à cette application privée dont l’accès est très restreint, mais en plus il lui demande de se rendre à une adresse qui se révèle être celle de l’appartement de la défunte Rika. Personne n’a la moindre idée de qui est derrière tout ça, mais on finit par conclure que quelqu’un nous a envoyé pour prendre la relève de Rika; notre héroïne joint donc la RFA et a maintenant pour mission de faire revivre l’association en organisant une fête.
Et comme vous pouvez le voir, tout le jeu se passe sur le chat. C’est pour ça que Mystic Messenger marche aussi bien et qu’il est aussi immersif: l’action se déroule sur une application, et c’est exactement ce sur quoi on joue, c’est un concept qui ne peut que marcher sur un téléphone. Et le concept en question est vraiment bien exécuté, on y croit !, les personnages tombent dans certains clichés mais n’en reste pas moins tous uniques et attachants, les conversations sont « réalistes », naturelles. C’est comme sur une vraie application de messenger: ils font des fautes d’orthographes, envoient des stickers, des emojis et des photos, écrivent avec différentes polices,…
C’est très bien fait ! Et c’est drôle, c’est prenant et divertissant, et évidemment, notre personnage participe aux conversations et c’est de cette façon que se manifestent les choix qui détermineront la route que vous allez jouer.
Autre chose contribuant au caractère immersif du jeu: il est en temps réel. Une partie s’étale sur 11 jours, et tous les jours, à divers moments de la journée, des convos s’ouvrent et vous devez y prendre part pour avancer dans l’histoire. Si vous en manquez une, vous pouvez quand même la lire mais cela ne fera pas augmenter la jauge; vous pouvez éventuellement utiliser 5 sabliers (la monnaie du jeu) pour pouvoir joindre une ancienne conversation. Une convo est disponible jusqu’à la suivante commence.
De temps en temps, vous pouvez basculer en « visual novel mode », et le temps d’un instant, l’action prend place dans la vraie vie, et pas sur le chat. Ce n’est une possibilité récurrente qu’après une semaine de jeu.
Non, en fait, restez, je vais bien trouver des trucs à dire. Mais le fait est que pendant longtemps j’ai voulu avoir un smartphone juste pour avoir accès à plus d’otome games, et maintenant que c’est chose faite, je me rends compte que je loupais pas grand chose.
Sauf que, comme vous avez pu l’apprendre dans mon dernier slice of life, je n’ai plus de pc sur lequel lire des visual novels de qualité, alors il fallait bien que je me rabatte sur quelque chose. Cet article aura donc pour utiliser de partager avec vous ce à quoi j’ai touché dernièrement.
Alors je vous le dis tout de suite, j’ai pas eu énormément de chance avec les dating sim: les scénarios sont généralement pas très recherchés, ni très travaillés.
Ce qui peut valoir le coup, c’est:
– Les otome games d’Accela, Inc., que j’ai découvert avec Romance Illégale et Un amour inattendu. Le premier était un peu prévisible et reprend cette trope de l’héroïne amnésique qu’on a déjà vu plus d’une fois auparavant dans ce genre de jeux, mais le deuxième a été une plus agréable surprise puisqu’il propose d’incarner une femme enceinte, chose un peu plus rare dans les otoges ! C’est sympathique, les dessins sont beaux, et c’est pas transcendant mais ça plaira aux amateurs du genre. On dispose d’une page pour personnalisé notre avatar, et on y retrouve plusieurs options payantes, mais un des avantages des jeux de ce développeur, c’est qu’on peut les terminer sans jamais rien avoir à payer. Et en plus, ils sont en français ! Alors voici la liste de leurs jeux, si jamais ça vous intéresse: ils sont disponibles sur iOS et Android.
– Sinon, en anglais, il y aussi les Shall we date? développés par NTT Solmare qui ne sont pas mal. A peu près les mêmes avantages: c’est gratuit, c’est ce à quoi peut s’attendre d’un otome game sur portable, ça se laisse lire, les graphismes sont très beaux et assez travaillés pour le coup,… Et je trouve les univers atypiques, originaux. J’ai commencé avec THE NIFLHEIM+, qui se passe dans le royaume des morts et où on peut draguer un zombie, un squelette,… ça change de ce qu’on peut voir d’habitude.
Voilà, ça pourrait vous intéresser, mais le tout dans le tout, rien ne m’a vraiment conquise, et la plupart du temps, le souci des otome games sur mobile, c’est qu’il faut payer tous les chapitres. Alors certains, comme ceux dont j’ai parlé plus haut, vous laisse lire un certain nombres de chapitres gratuits par jour, et si vous n’avez pas envie de payer la suite, il suffit d’attendre le lendemain pour débloquer la suite: un peu contraignant mais raisonnable. D’autres ne laissent pas le choix. Ma plus mauvaise expérience, ça a été un otome game de 3D Publisher: The Men of Yoshiwara ~Forbidden Romance~.
C’est dommage parce que j’avais vraiment envie d’aimer ce jeu. Je l’avais déjà évoqué sur ce blog parce que j’avais acheté la version PC sur Steam (qui heureusement!! était en promo, parce qu’elle est à 30€ en temps normal; un peu cher pour ce que c’est!). Elle est déjà pas terrible, mais la version mobile c’est à la limite de l’arnaque.
L’univers me plait bien, l’histoire se déroule à Yoshiwara, le « quartier des plaisirs », sauf que dans ce jeu, les prostitués ne sont pas des femmes, mais des hommes!, et on a un large choix de beaux mâles à draguer. En plus, le graphisme est génial, et les sprites sont animés en 2D contrairement à la version sur PC !, mais c’est pas spécialement bien écrit et les routes se ressemblent un peu toutes. Et le pire, c’est donc que le premier chapitre (très court) est gratuit et qu’il faut payer pour tout le reste… Ca revient à une certaine somme à la fin, et ça vaut pas le coup.
Mais puisqu’on parle de jeux sur Steam qui sont aussi disponibles sur téléphone, laissez-moi mentionner Hatoful Boyfriend. La version iOS est sortie très récemment, et je l’ai acheté sans même réfléchir, parce que j’aime tellement ce jeu… J’en ai déjà parlé donc je ne fais plus les présentations. Maintenant, la question est de savoir si mon achat était un choix judicieux.
Les deux versions sont presque identiques, à une exception prêt: dans cette nouvelle version, on retrouve la route de Nishikikoji Tohri, avant cela seulement disponible sur PS4. Et c’est une route sympa, moins « romantique » que les autres mais très rigolote. Cela dit, si vous avez déjà la version PC, ça vaut pas le coup de dépenser de l’argent pour celle-ci… Mais inversement, si vous n’avez pas les moyens pour la version PC, celle sur iOS est seulement à 4,99€, et après avoir payé ça, vous avez accès à toutes les routes gratuitement, c’est exactement pareil que sur PC mais à moindre prix.
Mais là où j’ai réellement trouver mon bonheur, c’est pas dans les dating sim, c’est dans les bonnes grosses niaiseries gênantes.
Ces otome games là reprennent le principe des très populaires situations CD/otome CD au Japon; l’idée est de vous faire susurrer des mots doux à l’oreille par de jolis garçons. Y’a même pas d’histoire, c’est juste un tête à tête avec un bishounen. Pour moi, c’est la définition du plaisir coupable.
Des jeux comme ça, il y en a plein, mais le premier que j’ai découvert en anglais, c’est Love Him, Poke Him (Love & Poke). L’application nous propose plusieurs situations et petits copains différents, vous choisissez et en fonction de la façon dont vous touchez l’écran, votre nouveau compagnon vous répondra. A ce jour, on retrouve:
« Reversible Boyfriend » où on peut interagir soit avec un petit-ami dominant, ou un petit-ami dominé. « Anniversary Boyfriend » où vous vous rappelez de vos plus beaux souvenirs ~ « Carrot and Stick Boyfriend », où vous avez un copain qui tente de vous motiver, que ça soit par la manière forte, ou la manière douce. « Newlywed Darling » où vous avez le choix entre deux maris. « YESxNO Boyfriend », où vous pouvez décliner ou accepter des propositions de trois copains différents. Et « Firsts With You » où vous expérimentez des premières fois avec un des deux copains proposés.
Idéal si vous êtes amateurs des voix suaves des seiyuu japonaises. Et mettez vos écouteurs surtout ! L’avantage, c’est que vous n’avez pas besoin de comprendre le japonais, les paroles sont retranscrites en anglais. Seul bémol, c’est qu’on fait vite le tour, et que pour débloquer plus de dialogues, il faut payer…
Le meilleur pour la fin: Sleepy-time Boyfriend. Même principe que le jeu ci-dessus: vous avez toute une sélection de boyfriends, il vous suffit de choisir celui que vous voulez pour passer un moment intime avec, avant d’aller vous coucher ! Il y a 13 personnages différents, qui ont des voix qui ne vous seront pas inconnues: Fukuyama Jun, Hirakawa Daisuke, Hiroyuki Yoshino,… Par contre, là aussi, plus on en veut, plus il faut payer, mais la version gratuite se suffit à elle-même, parce qu’attention, j’espère que vous êtes bien assis:
la particularité de cette application, c’est qu’elle sert aussi de réveil. Brillant ! Choisissez le beau gosse par lequel vous voulez être réveillé, et il vous tirera du lit de sa douce voix le lendemain matin. Tout à fait mon genre de niaiserie, 10/10.
Et je vais m’arrêter là pour aujourd’hui ! En conclusion: vraiment pas fan des dating sim sur portable. Mais les « situations games » sont pas mal, ça vaut pas les CD, mais comme pour les dating sim… on fait avec, et on déniche des trucs chouettes, malgré tout ! J’espère récupérer un PC prochainement pour vous reparler à nouveau de bons visual novels, parce que ça me manque; en attendant, j’espère que votre lecture fut agréable !
Aujourd’hui, je suis de retour pour vous parler d’applications, parce que j’en ai testé un certain nombre durant ces vacances (ce qui explique sûrement mon manque de productivité ces deux dernières semaines). Voici donc mon petit article de recommandation, mais attention !!, ces applications sont presque toutes disponibles uniquement sur l’App Store (ou le Google Play Store) japonais !
Si vous avez un iPhone, vous devez d’abord créer un compte sur l’App Store japonais. C’est simple et rapide, suivez ce tutoriel (mais ça peut vite devenir chiant donc si vous avez la moindre question n’hésitez pas à me la poser !).
Si vous avez un smartphone sous Android, téléchargez TunnelBear ou une application similaire.Via ce genre d’application, vous pouvez télécharger des jeux japonais.
Voici, on peut y aller ! Voici les applications sur lesquels je passe mon temps quand je ne joue pas à Love Live! (il faut bien que je m’occupe le temps que mes LP se rechargent…). Si ça vous intéresse, je pourrai continuer à vous présenter des apps sympas dans le futur !
Et là, vous êtes perplexes !!! Cet article n’était pas censé être Love Live! et à peine commence-t-il que je vous parle déjà de Love Live!: qu’est-ce que je peux bien encore avoir à dire ? Si j’en parle, c’est parce que j’ai récemment téléchargé la version japonaise de Love Live! School Idol Festival. Ce ne fut pas une mince affaire, ça a été la croix et la bannière pour me faire un compte iTunes japonais (mais rassurez-vous, c’est finalement assez simple et rapide), mais je suis contente de l’avoir fait, puisque la version japonaise du jeu est beaucoup plus avancée que notre version anglaise. Je trouve qu’il y ait beaucoup plus facile d’avancer (de monter de niveau, remplir les objectifs, de débloquer des chansons,…), il y a plus de cartes, plus de fonctionnalités,… Et en ce moment, j’ai aussi un nombre quasi illimité de LP, c’est assez pratique pour s’entraîner. Donc j’alterne entre les deux versions, et je pense que la prochaine fois que je ferai un article pour vous montrer mon avancée dans la version anglaise, j’en profiterais pour vous parler un peu de mon compte japonais et des cartes que j’y ai amassé. N’hésitez pas à télécharger la version japonaise en plus de la version anglaise: l’interface est légèrement différente mais on s’y retrouve très facilement même sans parler japonais, et si vous aimez la version anglaise, alors ça vous fera deux fois plus de LLSIF, et ça ne se refuse pas.
Et comme si je n’étais pas déjà suffisamment enfoncé dans ce qu’on l’appelle l’ « idol hell », j’ai profité de mon nouveau compte iTunes japonais pour télécharger Ensemble Stars!. Ca ne m’étonnerait pas que ce nom ne vous soit pas inconnu puisque c’est assez populaire au Japon, et même qu’un anime est prévu pour 2017.
Dans les grandes lignes, vous jouez le rôle de producteur d’idols, et le principal but du jeu est de collectionner des cartes. Par contre, attention!!, il ne s’agit pas là d’un jeu de rythme: l’élément principal du gameplay est le mini-jeu qui consiste à « produire » nos idols. On peut les entraîner sur trois capacités différentes: athletics, vocals and charisma. Pendant une session de « producing », plusieurs événements peuvent se déclencher: des têtes à têtes avec un personnage, ou des « battles » où votre groupe en affronte un autre, et celui qui a un niveau le plus élevé dans les trois « skills » différents cités plus haut gagne.
Il y a un aspect dating sim très sympa, il le serait encore plus en anglais, parce que, on va se le cacher: si on ne parle pas le japonais, Ensemble Stars! perd de son intérêt. Heureusement, certains utilisateurs ont posté des guides et des traductions pour que les joueurs anglais puissent s’en sortir, mais ça serait quand même beaucoup plus fun en anglais, ou avec de bonnes notions de japonais.
Sinon, c’est un très beau jeu, le chara-design est un au top, et les graphismes sont géniaux: le jeu utilise la technologie 2D Live, ce qui veut dire que les sprites des personnages sont animés!, ils sont aussi partiellement doublés et le mode histoire propose des CGs. Visuellement, c’est super (l’idéal est d’avoir un téléphone récent et bien mis à jour parce que sinon certaines animation ne s’afficheront pas correctement). Et évidemment, les cartes sont très belles, et ça change un peu de voir des garçons après tant de temps passé sur LLSIF.(en plus, ils sont tous très très mignons). Si ça vous intéresse, j’en parlerais plus en détails dans un autre article qui y sera entièrement consacré, il faut juste que j’avance un peu plus dans le jeu et que j’en maîtrise enfin toutes les subtilités.
Je regrette juste que ça ne soit pas un jeu de rythme et qu’il y autant de lecture (ce qui me force à constamment chercher des traductions pendant que je joue).
Si vous voulez des idols masculines et un jeu de rythme, il y a toujours Ai★Chuu (ou I-chu). Franchement… c’est Love Live! mais avec des garçons. L’interface et le gameplay sont extrêmement similaires, donc même si c’est japonais, c’est pas difficile à maîtriser, et c’est chouette de pouvoir jouer des chansons chantées par des garçons, ça change un peu. Malheureusement, je n’ai pas pu y jouer bien longtemps parce que c’est une application un peu trop lourde pour mon téléphone donc elle ne fonctionne pas correctement, mais c’est susceptible d’en intéresser certains d’entre vous, surtout si vous aimez bien Love Live!, alors si c’est votre truc, tentez !
On change totalement de registre avec Sailor Moon Drops ! Oubliez Candy Crush Saga, le futur des jeux de puzzle est là. Et en plus, il est disponible depuis hier sur l’App Store français, donc vous n’avez même pas besoin d’un compte japonais pour y jouer !
Alors d’habitude, ce genre de jeu, c’est pas trop mon truc. Par contre, Sailor Moon, c’est totalement mon truc, alors je me suis lancée, et… je ne regrette pas un seul instant !! Sailor Moon Drops est aussi adorable qu’addictif, c’est un jeu de puzzle assez classique, mais le thème fait tout son charme. Il y a une petite histoire, de stages en stages, on débloque de nouvelles sailor senshi, on combat des boss, et au fur et à mesure que notre personnage évolue, on peut utiliser des attaques spéciales pendant le jeu ! Et si vous n’avez plus assez de « moves » pour continuer, vous pouvez faire appel à Tuxedo Mask pour en obtenir dix supplémentaires ! C’est trop chou: les personnages sont en version chibi et sont animés; et Usagi est même doublée !
C’est mignon, et idéal si vous aimez Sailor Moon et que vous cherchez un jeu pour passer le temps.
C’est tout ce que je vous propose aujourd’hui ! Connaissiez-vous ces jeux ? Lesquels aimez-vous ? Lesquels allez-vous essayer ? Dites-moi tout dans les commentaires !
Alors… après des années passées avec des portables à touches, il m’est arrivé quelque chose d’assez incroyable, que personne autour de moi n’aurait soupçonné: j’ai abandonné mon Nokia Asha pour un iPhone 4S. Et c’est un nouveau monde de possibilités qui s’est ouvert à moi: je peux maintenant télécharger des applications !! Je ne sais pas si c’est vraiment une bonne chose parce que je ne sais pas aimer des choses sainement: j’avais à peine téléchargé mon premier jeu que j’y étais accro, et si j’écris ces lignes aujourd’hui, c’est pour vous en parler !
Love Live! School idol festival est un jeu de rythme disponible sur iOS et Android depuis 2013 (2014 pour la version anglaise). On le doit à Bushiroad et KLab. Il est bien sûr tiré de la franchise Love Live!, que vous connaissez, parce que, que vous aimiez ou non, vous n’avez pas pu passer à côté.
J’aime beaucoup ce genre de jeux, j’ai joué à Osu! pendant des années et des années, et quand j’ai vu une de mes amies jouer à ce jeu qu’on abrégera LLSIF, j’ai tout de suite accroché; dès que j’ai su que j’allais peut-être avoir un iPhone, la seule chose à laquelle je pensais, c’est que j’allais enfin avoir un portable sur lequel je pouvais y jouer. Pourtant, je me suis jamais intéressé à ce titre, j’ai bien essayé l’anime mais… vraiment pas fan. Mais ce jeu-là… est addictif!!!, et donc maintenant, ça fait environ un mois que j’y joue!, du coup, je suis pas encore très douée et je suis pas très loin dans l’histoire. Je suis pas une experte, j’ai pas encore vu tout ce qu’il y avait à voir, mais j’avais très envie de vous en parler, et de partager un peu avec vous tout ce que j’ai fait jusqu’à présent.
Le gameplay ! Tout commence avec un mode Histoire (il y a 33 chapitres contenant chacun trois ou quatre histoires donc y’a de quoi faire), sous forme de kinect novel: on suit les membres de μ’s et, au fur et à mesure qu’on avance dans les chapitres, on débloque des chansons à jouer en « live ».
C’est un jeu de rythme, donc très simple: il faut taper sur les cercles en rythme avec la musique (il faut aimer la musique d’idol, c’est de la pop édulcorée, c’est pas au goût de tout le monde j’imagine). Parfois il faut appuyer sur taper sur deux cercles en même temps, parfois il faut rester appuyer un certain temps,… La difficulté augmente en fonction du mode: Easy, Normal, Hard ou Expert. En fonction de notre score, on obtient une note entre D et S. On pourrait croire que c’est pas plus compliqué que ça, mais il faut plus que le sens du rythme pour obtenir un bon score.
Sur LLISF, le but, c’est aussi de collectionner des cartes. Et avec les cartes qu’on collecte, on se constitue des équipes. Toutes les cartes du jeu sont réparties en trois catégories: Smile, Cool et Pure. Et ça tombe bien, parce que les chansons sont elles-aussi réparties dans ces trois catégories. Ce qu’il faut alors se faire, c’est au minimum trois équipes: une équipe de cartes Smile, une autre de cartes Cool, et une dernière, de cartes Pure.
Mais ce n’est pas avec n’importe quelles cartes qu’on fait une bonne équipe. Elles sont classées selon leur rareté: N, R, SR et UR.