Publié dans Slice of Life, Voyage

G-DRAGON 2017 WORLD TOUR [ACT III, M.O.T.T.E] à Amsterdam !

Je devrais vraiment être en train de faire autre chose. Et si déjà je suis là, je devrais faire un Slice of Life, mais… chaque chose en son temps ! Aujourd’hui, j’aimerais vraiment prendre deux minutes pour enfin vous raconter le concert de G-Dragon auquel j’ai assisté à Amsterdam le 26 septembre dernier ! Ca fait déjà presque deux mois… le temps passe vite, et j’ai vraiment traîné pour pondre cet article, mais fort heureusement, cette soirée est gravée dans ma mémoire et je m’en souviens encore comme si c’était hier…

Pour vous remettre rapidement dans le contexte: je suis fan de GD depuis le collège et jamais dans mes rêves les plus fous je n’aurais imaginé le voir un jour en concert. Parce que oui hein, les « world tours » des artistes de k-pop dépassent rarement les frontières de l’Asie, donc quand des dates pour l’EUROPE ont été annoncées, je suis tombée de ma chaise. J’étais la parfaite pigeonne pour acheter ces places hors de prix dans la fosse à 200€. A ce jour, je suis encore partagée entre « rien ne vaut 200€ et certainement pas une place de concert » et « ça valait totalement le coup si c’était à refaire je payerais même le double ».

Autant vous dire que j’ai dû faire face à bien des péripéties, du moment où j’ai acheté ces foutues places et que ma connexion internet a lâché, jusqu’au moment où j’ai pénétré la salle de concert et qu’on m’a forcé à jeter mon sac soi-disant trop grand à la poubelle. Mais au bout du compte, j’étais là, en la compagnie de ma très bonne amie Ingrid, face à la scène.

Si vous avez lu mon article sur le concert de Twenty One Pilots l’année dernière, bah j’étais exactement à la même place. Dans la fosse, tout à droite, au deuxième « rang », j’avais juste une rangée de personnes devant moi et aucune tête qui me gâchait la vue. Je m’étais pourtant préparée mentalement à ne pas avoir autant de chance qu’à mon précédent concert, mais la vie est bien faite. (Il faut quand même préciser qu’il y avait encore une « fosse VIP » devant la fosse « normale », la fausse des pauvres qui n’ont payé que 200€ ! Mais cette fameuse fosse étant accessible qu’avec des billets à 600€, elle était pas bien remplie, donc… ça n’a rien changé à la vue, ni même vraiment à la proximité, que j’avais avec la scène.

J’ai hurlé, j’ai sauté, j’ai crié toutes les paroles en anglais et, dans le feu de l’action, j’ai sûrement fait un peu de yaourt aussi. C’était excellent ! il était excellent ! Super présence sur scène, tout un spectacle avec des grandes flammes et des feux d’artifice qui ne manquaient jamais de me faire sursauter, un orchestre au top, et bien sûr, lui, en chair et en os sous mes yeux… Je ne vois pas ce que j’aurais pu demandé de plus.

Ce que j’ai adoré, c’est qu’il nous a vraiment chanté tout son répertoire. Le concert était divisé en trois parties:

L’acte I, « G-Dragon », avec les singles de ses débuts, ambiance très 2009 avec des chansons d’Heartbreaker, et aussi But I Love U et Obsession. L’acte II, « G-Dragon VS Kwon Ji Yong », avec cette fois des chansons de One of a Kind et Coup d’Etat. Et enfin, l’acte III, « Kwon Ji Yong », avec les chansons de son dernier EP du même nom !!! Sans oublier, le rappel où il a chanté Crooked (ma chanson!!!!) et Untitled, 2014.

Tout le concept de la tournée repose sur la dualité entre G-Dragon, le « personnage », l’idol, la célébrité,… et Kwon Ji Yong, la personne qu’il est quand les projecteurs s’éteignent, celui que sa famille et ses amis connaissent.

Il nous a fait le petit speech qu’il fait à tout les concerts où il explique le dit concept et espère qu’on accepte cette facette de lui. Il ressort le même chaque soir mais il avait l’air tellement sincère, et humble… que moi, j’avale ça, j’y crois, et comme chacun, j’ai hurlé « KWON JI YONG, KWON JI YONG, KWON JI YONG » pour signifier que oui, je l’accepte comme il est sinon est-ce que j’aurais vraiment payé un rein pour être ici.

Et en tout cas, si je l’aimais déjà avant, j’en suis retombée complètement amoureuse après l’avoir vu ce soir-là. Déjà parce qu’il a bien du talent mais aussi parce que… quand il s’adressait au public, il était vraiment attendrissant. Je suis peut-être naïve mais j’ai été touché par sa douceur, sa modestie, et sa patience (il n’arrêtait pas de se faire interrompre par des « I LOVE YOU » et il prenait le temps de répondre « me too » à chacun d’entre eux!!!!!!).

C’était magique, inespéré, l’ambiance était super bonne et le concert parfait.

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Et puisque déjà on était là… on a fait un peu de tourisme, hein.

Alors, l’air de rien, on avait cours !!!, donc on ne s’est pas attardées et on est restées que trois jours (c’est déjà plus que déraisonnable, je sais). Mais finalement, c’était largement suffisant. D’autant plus que notre titre de transport ne nous permettait pas de sortir de la ville et de visiter les alentours, donc… trois jours, c’est plus qu’assez pour visiter Amsterdam à elle-seule.

Il faisait un peu froid, il faisait très gris, mais c’était quand même très, très beau. Des tulipes, du fromage et des sabots partout. Beaucoup d’odeur de beuh, aussi.

Amsterdam, c’est connu pour ses coffee shop, donc je savais à quoi m’attendre, et pourtant… je m’attendais pas non plus à ce qu’on fume littéralement partout. Toutes les rues, tous les moindre recoins de la ville, empestent le cannabis et je pense que tu peux tranquillement planer sans même avoir besoin de fumer toi-même un joint dans un coffee shop. (Et les boutiques de souvenirs capitalisent à mort sur ça, tu peux tout acheter « saveur cannabis », mais c’est que des attrape-touristes et tous ces produits contiennent finalement rarement du vrai shit parce que sinon ils pourraient pas coller la mention « worldwide legal » dessus).

Autre chose: c’est une ville très chère ! On a bien tourné en rond avant de trouver où se nourrir pour un prix qui rentrait dans notre budget ! C’est tout con mais ce qui m’a choquée, c’était le prix d’un simple hamburger… même dans le plus modeste des snacks, t’en as pour une dizaine d’euros parce que pour eux, un burger « simple », c’est le pain et le steak, et le « menu », c’est tous les condiments… menu n’incluant bien sûr pas les frites ou la boisson. Mais bon ! c’est qu’un détail, c’est pas comme si le hamburger était un plat très local donc on s’en passe !

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On a créché au Train Lodge. C’est très dur de trouver un hôtel ou même un Air BnB en Hollande (ou en tout cas à des prix abordables); ils sont plutôt dortoirs et compagnie. Alors on a opté pour cet établissement qui est en fait un train, réaménagé en auberge de jeunesse. Le tarif pour deux nuits était raisonnable et le concept, à mes yeux, valait tous les autres établissements de la ville même les plus luxueux.

C’est aussi plus ou moins un dortoir; y’a des compartiments pour soit 3, soit 6 personnes (que tu te retrouves donc à partager avec des inconnus si tu voyages pas avec ce nombre exacte de personnes) et il y a une salle de bain commune par wagon ((le style de salle de bain varie GRANDEMENT en fonction du wagon, y’en avait des très propres et rénovées et d’autres… pas salles mais, disons, sinistres). C’est serré ! mais pour une ou deux nuit, ça fait parfaitement l’affaire. Notez aussi qu’il y a la possibilité, si on est est dans une situation où on doit partager sa chambre, de choisir un compartiment « women only ».

Je recommande !

Je regrette de ne pas avoir pu visiter la maison d’Anne Frank (l’attente était trop importante pour le temps limité qu’on avait, et en plus c’était apparemment en travaux, bref), mais à défaut d’avoir pu y aller, on a fait le Stedelijk Museum, le Musée national d’art modernes !!! On a beaucoup aimé. Il y avait une exposition de Zanele Muholi très poignante, sur la situation de la communauté LGBTI en Afrique du Sud. Aussi, une expo assez chouette de Jana Euler, « High in Amsterdam, The Sky of Amsterdam ». Le tout dans le tout, ça valait le détour, et en plus, c’était gratuit pour les étudiants.

Ci-dessus, on a aussi la « plus petite maison d’Amsterdam », le numéro 22 de l’Oude Hoogstraat. Les maisons étroites, c’est pas ce qu’il manque à Amsterdam, mais celle-ci fait 2 mètres de largeur ! et 5 mètres de profondeur ! Elle est ouverte au public: au rez-de-chaussé, vous pouvez achetez du thé (très bon et pas cher), et à l’étage, il y a un adorable salon de thé.

J’ai aussi fait un tour au Quartier Rouge mais je n’ai rien de particulièrement positif à en dire.

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Ma mère, plus aventurière et dotée d’une carte pour voyager en dehors de la ville, a fait un tour à Zaanse Schans donc voici pour vous une petite photo de moulins, parce que c’est aussi ça la Hollande, des moulins.

Voilà ! ce n’est pas grand chose, mais j’espère que ça vous aura plu ! Ca me manque d’écrire plus régulièrement ici, j’espère vous retrouver très bientôt !

Publié dans Slice of Life, Voyage

Slice of Life – Pariiiis, tu nous ouvres ton cœur.

Si tout le monde a bien compris ma référence à Anastasia, on peut passer à la suite.

Je n’ai pas été très présente sur ce blog en juin: j’étais pas mal occupée, et pas très inspirée. Pas d’inquiétude, je compte bien me rattraper au mois de juillet; d’autant plus que ça me désole un peu de ne plus voir que des Otome News sur ma page. J’adore les faire et ce n’est pas une série que j’ai envie d’arrêter, mais elle prend tellement de place…

Bref, en attendant de remédier à cela, on se retrouve pour un Slice of Life, banal mais fort chargé !

Escapade parisienne  

J’ai commencé le mois par une petite virée à Paris, où je me rendais pour le concert symphonique de musiques Ghibli de Joe Hisaishi, au Palais des Congrès.

Grandiose. Joe Hisaishi alternait entre chef d’orchestre et pianiste, et l’orchestre et son chœur ont interprété les musiques de Nausicaä, Mononoke, Kiki, Le Vent se Lève, Ponyo, Le Château dans le Ciel, Porco Rosso, le Château Ambulant, Chihiro et Totoro, avec des extraits des films en fond. !!!

C’était magique!, et généreux, le concert a duré deux bonnes heures, avec Mai Fujisawa présente pour interpréter Nausicaä Requiem, la fanfare qui se glisse dans les rangs du public pour Le Château dans le Ciel, et Hisaishi qui revient pour un rappel où il a interprété d’autres chansons de Porco Rosso et Princesse Mononoke. Vous vous en doutez, j’ai eu la larme à l’œil à plusieurs reprises.

C’était une expérience inoubliable que d’entendre les morceaux qui ont bercé mon enfance et qui continuent aujourd’hui de me faire voyager, joués, sous mes yeux. Mon seul regret aura été la partie du Château Ambulant, que j’attendais avec impatience mais où j’ai bien cru que l’écran avait un bug, ce dernier étant resté noir pendant presque la totalité de la performance. Il y aurait pourtant eu tant de belles images pour accompagner ces titres.

Comme j’étais sur Paris, j’en ai profité pour passer un peu de temps avec mes BFF de Twitter, Sophie (avec qui j’étais au concert), et Marina. On a passé un moment de qualité au bar à chats Chat Mallows. L’endroit est très mignon, et ce jour-là ce n’était pas bondé, donc on a passé un moment très agréable et reposant, peut-être trop (c’était l’heure de l sieste pour les chats et leur fatigue a bien failli être contagieuse). Leur carte est, ma foi, très étoffée, mais il faut… prévoir un budget… Je crois que rien n’est en-dessous de 5€, ce qui fait un peu cher le café.

Après, direction le restaurant Higuma pour un tête à tête avec Sophie. J’ai pris un délicieux curry au poulet pour un prix tout à fait raisonnable pour la portion qu’on a dans l’assiette.

Déjà que je n’étais là qu’une nuit, mes horaires de train ne m’ont pas laissé beaucoup de temps à moi. Après une nuit pas très tranquille dans une chambre aux murs trop fins, j’ai fait un peu de tourisme avant de partir. Mon hôtel était à deux pas du Sacré Cœur, alors j’y ai traîné un peu avant de déjà devoir partir.

C’était super, et ça m’a fait tellement plaisir de voir mes amies, mais c’était bien trop court !!! Si ça ne tenait qu’à moi, j’y serais déjà retournée !

Voleurs à travers le temps

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Le mois dernier, je vous racontais que j’avais passé le mois entier sur la trilogie Sly Cooper. En juin, j’ai profité d’une promo pour acheter le dernier opus, Sly Cooper: Thieves in Time, sorti en 2013. Aussitôt était-il installé sur ma PS Vita que je n’ai fait que ça pendant trois jours. Il était e-xce-llent.

Si par malheur, vous ne seriez pas familiers avec Sly Cooper, il est issu d’une longue lignée de voleurs, et lui et ses amis Bentley (le cerveau) et Murray (les muscles) font équipe pour voler les grands méchants.

Le concept de Thieves in Time est brillant, parce que dans Sly 3, quand j’ai fait le niveau du caveau des Cooper, je regrettais que ses ancêtres ne soient pas plus exploités dans le jeu. Comme si mes prières avaient été entendues, ils sont au centre de ce dernier jeu où les héros voyagent dans le temps (et dans le monde!) pour aller à la rencontre de ceux qui ont précédés Sly.

Nette amélioration par rapport aux précédents jeux; ce qui me faisait toujours m’arracher les cheveux, c’était les mini-jeux, mais là le niveau de difficulté est raisonnable. Le gameplay est aussi beaucoup plus intéressant: chaque Cooper à sa « technique secrète », en plus de transmettre à Sly un nouveau mouvement et un costume !

J’ai passé un si bon moment avec ce jeu ! Tout ce que je lui reproche, c’est, d’une part, la sexualisation vraiment pas nécessaire de Carmelita, qui dans cet opus porte une jupe moulante (pas bien pratique pour toutes les acrobaties qu’elle fait) et où un des mini-jeux consiste à lui faire remuer les fesses… et d’autre part, l’absence d’une ancêtre ! Alors qu’on sait qu’il y avait au moins une femme dans le Clan Cooper, j’aurais bien voulu jouer Henriette!

Et sinon, la fin était vraiment décevante: non seulement, le dernier boss était ridiculement facile, mais en plus, la fin était exactement la même que celle de Sly 3, sauf que cette fois-ci, on aura probablement jamais de suite, et c’est horriblement frustrant.

IDOL HELL

Je ne vais pas vous prendre la tête avec Love Live, mais si déjà je vous ai parlé de ma première UR y’a tout pile un mois, je dois quand vous dire que le 9 juin, c’était l’anniversaire de Nozomi, et qui dit anniversaire, dit Nozomi-only Scouting. Pour l’occasion, j’avais économisé 500 love gems !!!

Il me manque encore certaines cartes que je convoite mais j’ai pu coché pas mal de mes favorites de ma liste. Je peux m’estimer chanceuses d’avoir eu de très bons tirages !!! C’est dommage que la version anglaise n’ait encore qu’une seule SSR de Nozomi, parce que je ne suis pas fan de celui-ci; en revanche, la deuxième, qui est déjà sorti sur la version japonaise, est superbe !! Ca sera pour l’année prochaine…

Niveau UR, je suis comblée rien que parce que j’ai enfin eu mes premières UR Nozomi. Celle avec les lunettes fait partie de mes préférées, je n’aurais pas pu demander mieux.

En plus, ce mois-ci, il y avait un event Nozomi, qui m’a permis d’avoir une de mes SR préférées ! Et enfin, je suis passée niveau 121, ce qui veut dire que j’ai enfin pu débloquer le titre « Nozomi Fan ». C’est l’euphorie !

Heureusement que j’avais dit que je ne vous prendrais pas la tête avec ça.

Tchouk Tchouk Music

Si Jennie était le crush du mois de juin, ce n’est pas un hasard ! C’est parce que BLACKPINK a fait son come back le 22 avec As If It’s Your Last.

Toujours à la hauteur, toujours au top. Je suis super déçue qu’elles n’aient sorti qu’un single au lieu des deux habituels, mais comme je ne suis pas prête de me lasser de cette chanson, je le viens bien. Je ne me remets pas du « Blackpink in your areaaaa » de Jennie, et la partie du refrain chanté par Lisa est géniale. Lisa qui a eu quelques choix de tenues tragiques dans certaines parties du clip mais… bon…

Maintenant, j’espère qu’elles ne vont pas disparaître trop longtemps !!!

Le 16, quatre ans après son premier album, Lorde a sorti son nouveau bébé, Melodrama. Sans surprise, j’adore. J’ai l’impression qu’on a traversé les mêmes choses, en même temps, parce qu’à l’époque, Pure Heroine me parlait beaucoup, mais aujourd’hui, je me retrouve beaucoup plus dans les chansons de Melodrama.

C’est un album très personnel et très honnête, où elle évoque sa rupture de son copain de plusieurs années qui, bien que douloureuse, lui a appris à s’aimer et à vivre pour elle-même. De « I’ll love you til my breathing stops. » « Cause honey I’ll come get my things but I can’t let go. » à « I care for myself the way I used to care about you. » « I’ll go home into the arms of the girl that I love, the only love I haven’t screwed up. […] The only thing that a stranger would see is one girl, swaying alone, stroking her cheek. »

Je ne saurais même pas quel titre conseiller, c’est un album qui s’écoute dans son ensemble. Chaque morceau est différent et unique, Lorde tente plein de nouvelles choses, et le tout ne fait finalement que 40 minutes donc… écoutez tout.

Et le meilleur pour la fin, le nouvel EP de G-Dragon: Kwon Ji Yong. D’ailleurs, ça fait aussi quatre ans depuis son dernier album solo ! J’aurais aimé avoir un peu plus de cinq nouvelles pistes, mais je m’en contente volontiers. J’ai tout ce qu’il me faut: une chanson fun et dansante avec Middle Fingers-Up, une ballade mélancolique avec Untitled (2014),… et un morceau plus sombre, Divina Commedia, où il cite un de mes films préférés, The Truman Show!!, et fait une référence au drama Goblin.

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En plus, l’album se présente non pas sous forme de CD mais de clé USB ! Vous avez dit trend setter ?

Je crois que c’était en avril, mais pour faire la promotion de son EP, G-Dragon a également annoncé une tournée mondiale ! Pour les artistes de k-pop, et surtout pour YG Entertainment, « tournée mondiale », ça veut souvent juste dire « tournée en Asie de l’Est », mais là, pour le coup, il avait annoncé pas mal de dates aux Etats-Unis et même en Australie, en plus de nombreuses dates en Corée, au Japon, même en Indonésie,… C’est rare que ces artistes fassent des tournées de cette envergure.

Il devait encore annoncer des dates pour septembre, entre ses concerts au Japon et son retour en Corée. J’avais perdu espoir pour qu’il fasse encore un petit détour pour l’Europe… et je ne peux toujours pas exprimer ce qu’il s’est passé en moi quand je me suis levée un beau matin et qu’il avait annoncé 5 dates chez nous.

Je suis fan de G-Dragon depuis des années, c’est une occasion inespérée et je ne sais pas quand elle se représentera, donc… j’ai pris des places pour son concert à Amsterdam. Mais. Faut quand même avouer qu’il y a du foutage de gueule dans l’air.

Les places vont de 65 à 200€. Passe encore. Mais les packs VIP sont indécents. Eux vont de 350 à +500€ selon le pays, et proposent comme seuls privilèges d’avoir bonnes places dans la salle, d’assister aux répétitions et de prendre une photo sur scène… sans l’artiste… ? Oh, et une place de parking gratuite… Je ne connais aucun autre artiste qui demande autant pour si peu. Faut vraiment la vouloir cette place de parking.

Lectures manga

Y’a un mois, je vous disais qu’il fallait que j’arrête de commencer de nouvelles séries si c’était pour ne jamais aller plus loin que le tome 1, et… et qu’est-ce que j’ai fait ? Devinez.

Grâce à à la Masse Critique de Babelio, j’ai pu avoir Le Chant des souliers rouges de Sahara Mizu. La couverture me faisait de l’œil.

Mauvais perdant au point d’envoyer un de ses coéquipiers à l’hôpital, notre protagoniste s’isole après cet incident et sombre peu à peu dans une dépression qui lui a fait complètement arrêter sa passion, le basket. Alors qu’il veut jeter ses chaussures du haut d’un toit, il surprend une jeune fille faire de même avec ses talons rouges. Ils font connaissance, et échangent leurs paires.

Aujourd’hui au lycée, Takara a coupé ses cheveux et est devenue l’une des meilleures joueuses de son équipe de basketball. Kimitaka est alors inspiré à mettre aux pieds ses chaussures qu’il avait récupéré, et à réaliser le rêve qu’elle n’avait jamais pu atteindre: faire du flamenco.

J’aime beaucoup la façon dont le destin de ces deux individus se croisent, et j’apprécie les thèmes de l’adolescent en doute, rongé par la culpabilité mais qui apprend à aller de l’avant. J’ai quand même bien envie de le voir danser alors peut-être qu’il faudrait que j’achète la suite…

J’ai également craqué pour Plus Jeune que Moi, un shôjo sans prise de tête signé Hiro Chihiro, qui raconte l’histoire d’amour de Mihoro, sœur aînée d’une bien grande fratrie, et Miyao, une classe en-dessous d’elle. Une lecture choupinette, rien de bien novateur que ça soit au niveau du dessin ou de l’histoire, mais ça fait toujours plaisir à lire, il a bien sa place dans la collection « feel good » d’Akata. Quel bonheur de voir un manga sur la « différence d’âge » où la relation n’est pas illégale !!! Cerise sur le gâteau, il ne fait que trois tomes !

J’ai quand même acheté une suite, c’est celle de DDDD, qui me plait autant que le premier tome, mais qui s’arrête juste au bon moment ! Je suis sûre d’acheter le tome 3, au moins. Je ne vais pas trop m’attarder dessus, mais si le manga vous intéresse, j’en avais déjà parlé dans cet article !

Bishies à volonté !

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Enfin, j’ai écrit pour Club Shôjo à l’occasion du « Bishie Day » ! Parfait, c’est ma spécialité. Si vous ne l’avez pas encore lu, je vous invite à passer voir mon article sur les otome games, où je présente un peu le concept et fais un classement de mes bishonen préférés.

Ca m’a fait très plaisir que Carolus me propose d’écrire sur son site, et c’était un exercice différent de d’habitude puisque là je m’adressais à un nouveau public pas forcément familier avec les otome games. Merci encore à elle pour cette opportunité !


C’est tout pour moi ! On va essayer de se retrouver plus souvent en juillet, donc je vous dis à bientôt, et avant ça, vous invite à me raconter votre mois de juin à vous !