Publié dans Visual Novel

Danganronpa 2: ma réconciliation avec « Goodbye Despair ».

J’adore Danganronpa. Mais si vous avez déjà parlé de Danganronpa avec moi, vous savez que je ne porte pas le second opus dans mon cœur. J’ai découvert la franchise il y a trois/quatre ans de cela, et j’étais à fond. A l’époque, le jeu n’était pas encore disponible en dehors du Japon, donc la plupart des gens n’avaient pas jouer à Danganronpa mais en avait lu un Let’s Play; c’était l’époque où en disait encore « Super High School Level » au lieu d’ « Ultimate », et où « Genocide Jack » s’appelait « Genocider Syo ». Je faisais donc partie de ces gens-là; et comme j’avais vendu mon âme au 1, je me suis dit que j’allais lire le Let’s Play du 2 !

Pour vous la faire courte: j’ai pas du tout aimé. Mais cette année, Danganronpa a débarqué sur Steam, et je me suis dit que… peut-être… j’allais redonner sa chance à Danganronpa 2… en plus, il était en promo… donc allez…

Mais j’en avais gardé un si mauvais souvenir, j’étais sûre que j’allais pas aimer, je me suis d’ailleurs pas précipité dessus à sa sortie hein, et tout le monde me disait « c’est un bon jeu ! si tu y joues tu vas changer d’avis ! il est vraiment super, tu verras à la fin, tu vas adorer ! » et je me bornais à dire que non ! Quand j’avais lu le Let’s Play, j’étais allée jusqu’à la fin du troisième chapitre, soit… la moitié du jeu puisqu’il y en a six en tout, c’est assez pour me faire un avis non ?

Bon, bah heureusement qu’on dit que « y’a que les cons qui changent pas d’avis ».

Ca m’a fait mal de l’admettre mais en fait ce jeu est tout à fait correct, il est même très bien, je ne sais même plus ce que je pouvais bien lui reprocher.

On va donc en parler. Si vous cherchez ma review du premier jeu, elle n’existe pas, j’ai rien écrit dessus si ce n’est une ridicule comparaison de Danganronpa avec le Truman Show. Mais si vous lisez cet article, vous devez savoir de quoi ça traite: seize élèves sont prisonniers au sein d’une école. Un ours en peluche qui répond au nom de Monokuma leur pose un ultimatum: s’ils veulent sortir de là, ils doivent s’entretuer. L’école où ils sont retenus s’appelle Hope’s Peak Academy, elle est réservée à l’élite, aux élèves qui sont les meilleurs de leur domaine: l’Ultime joueur de baseball, l’Ultime idol, ou encore l’Ultime parieuse, voilà le genre de personnes qui a l’honneur d’intégrer la prestigieuse académie.

Danganronga 2 reprend exactement le même principe, mais avec un petit changement de décor: l’histoire se déroule sur une île paradisiaque. Même condition: s’ils veulent quitter l’île, ils doivent s’entretuer. Quand un meurtre à lieu, les élèves se lancent dans une investigation, et après un certain temps, tout le monde se rassemble pour un procès. Si le meurtrier se fait démasquer, il est exécuté, mais si le mauvais coupable est voté, tout le monde se fait exécuté à l’exception du tueur qui retrouvera sa liberté.

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