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Pour se consoler après la fin de l’anime : IDOLiSH7, le jeu.

Comme promis, aujourd’hui, on parle d’IDOLiSH7, et cette fois-ci, pas l’anime mais le jeu sur smartphone développé par Bandai Namco ! J’y joue depuis un peu plus d’un mois maintenant… je savais que la fin de l’anime allait laisser un vide considérable dans mon cœur et c’était la seule façon de le combler…

Avant de commencer, j’imagine que certain-e-s d’entre vous vont être tenté-e-s d’y jouer mais il faut savoir que le jeu est uniquement disponible en japonais ! Pour le télécharger, il faudra donc soit passer par un VPN (dans le cas où vous êtes sur Android) soit passer par l’App Store japonais (dans le cas où vous auriez un iPhone). Dans le premier cas, je vous recommande d’utiliser l’application TunnelBear, et dans le second cas, je vous redirige vers ce tutoriel.

Même si je sais qu’il est tentant de foncer le télécharger, on va quand même d’abord voir de quoi il s’agit !

C’est un jeu de rythme qui s’articule autour de plusieurs groupes d’idols, en particulier « IDOLiSH7 » dont on incarne la manager.

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Actuellement, il en existe trois parties. La première, qui se concentre sur les débuts d’IDOLiSH7 et leur rivalité avec TRIGGER, est celle qui a été adaptée en anime cette année. La deuxième nous fait faire connaissance avec Re:vale, et la troisième introduit le groupe ZOOL.

Je l’avoue, je l’avoue… j’avais des a priori quant à la qualité de l’histoire. La qualité des histoires des mobile games (mobages) en général. Je ne me doutais pas que certains se donnaient la peine de proposer des histoires d’une pareille qualité. Mais si vous avez vu l’anime (et j’espère que c’est le cas !), vous avez déjà eu un bon aperçu du soin apporté à l’écriture. L’histoire ne nous épargne rien des côtés sombres du milieu du divertissement : la compétition, la pression, les producteurs corrompus, la difficulté à satisfaire aussi bien les professionnels que les fans, les critiques décourageantes, les scandales,… Les obstacles sont nombreux, et les personnages ont chacun leurs rêves et leurs fardeaux, mais derrière chaque coups durs, il y a un message d’espoir, et d’amitié. C’est très beau, et on a tous des personnages dans lesquels on peut se retrouver quand ils traversent des épreuves similaires à celles qu’on a pu connaître : il y a notamment beaucoup d’histoires de familles (un des thèmes centraux d’IDOLiSH7, il est omniprésent), des personnages qui souffrent de la peur de ne pas être à la hauteur et de tirer les autres vers le bas en conséquence, le sentiment de vivre dans l’ombre de quelqu’un, avoir l’impression de vivre dans un mensonge, etc. Si je devais résumer de quoi parle IDOLiSH7, ça serait de trouver sa place, trouver son rêve, et réussir à avancer malgré son passé.

Et ce qui est remarquable, c’est la façon dont tout cela est amené, la façon dont l’histoire est structurée : rien n’est laissé au hasard, tout est lié, tout se rejoint, il y a beaucoup de foreshadowing et un tas de retournements de situation qui laissent sans voix. C’est très, très prenant !

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Et comme dans un visual novel, il y a des cinématiques, des CG (computer graphics), des side stories,… Que demander de plus ?

Avancer dans l’histoire permet de débloquer des chansons, et y jouer permet de débloquer de nouveaux chapitres !

Si vous avez l’habitude des jeux de rythme, vous n’allez pas être dépaysé-e-s, le principe est le même que partout ailleurs : il faut toucher les notes en rythme avec les musiques, et selon votre timing, vous recevez des mentions « perfect » « good » « bad » ou « missed », et selon votre score, vous avez une note qui va de « C » à « SS », et vous pouvez gagner des récompenses en fonction du score, des combos, et du nombre de fois où vous avez joué une même chanson.

Le gameplay est assez simple, parfois il faut tenir la note, d’autre fois la glisser.

Au début, la « scène » est un peu moche, mais au fur et à mesure que votre score augmente, elle se colore de lumières arc-en-ciel, qui laissent ensuite place à un clip (quand on n’est pas habitué-e, ça déconcentre un peu au début ! mais c’est beau !!).

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Comme d’habitude, on retrouve quatre niveaux de difficulté : easy, normal, hard et expert. Personnellement, je trouve qu’il est assez facile de faire des « full combo » (au moins dans les trois premiers niveaux de difficulté), le vrai challenge, c’est de faire des « perfect combo » (donc n’avoir QUE des notes « parfaites »). Pour vous aider, il y a une fonction « live assist » où, en échange de G (autrement dit, la monnaie du jeu), vous avez des petites aides comme « augmenter le score », « changer une note », « agrandir les cercles pour avoir des notes parfaites plus facilement », etc.

Un des atouts d’IDOLiSH7, c’est que la musique est vraiment excellente. Je vous fais ma petite sélection, loin d’être complète mais qui j’espère vous donnera un petit aperçu de ce que la francise propose en terme de musique.

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Uta no☆Prince-sama♪ Shining Live: tout savoir avant sa sortie en anglais !

La sortie en anglais du mobile game UtaPri Shining Live approche à grands pas ! J’en avais téléchargé la version japonaise peu de temps après sa sortie en août… je n’y joue déjà plus, la faute à beaucoup de choses, à commencer par Animal Crossing Pocket Camp, mais je n’en avais jamais trop parlé et je me suis dit que… pour l’occasion… pourquoi ne pas écrire dessus ?

Avant de rentrer dans le vif du sujet, je me permets de raconter un peu ma vie. C’est un blog après tout. Je n’ai jamais eu beaucoup d’intérêt pour la franchise UtaPri, et ce n’est pas faute de lui avoir donné une chance par le passé. Pas mon truc. Jamais eu le déclic. Si j’en suis venue à, malgré tout, tester le mobage, c’est 1) parce que c’est un jeu de rythme, et j’aime bien ça, mais surtout 2) je me suis fait voler mon portable dans les transports en commun ! haha !!! et avec lui s’est envolé ce que j’avais de plus précieux… mon compte sur Love Live! School Idol Festival. J’étais très avancée dans le jeu, et j’étais trop dégoûtée et démotivée pour repartir de 0, alors j’ai fait mon deuil et je lui ai trouvé un substitut: un autre jeu de rythme et d’idols par le même développeur: KLab.

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Et forcément, comme c’est le même développeur, le gameplay est assez similaire: si vous avez déjà joué à Love Live!, vous ne serez pas dépaysés, la partie rythm game est quasiment similaire à deux/trois détails près. J’étais donc plutôt satisfaite de ce côté-là, et l’avantage était que je n’avais pas grand chose à apprendre à maîtriser. Une chose qui change par rapport à Love Live: les personnages n’apparaissent pas en plein milieu de l’écran pendant la partie, donc la seule chose qui est vraiment susceptible de déconcentrer, c’est les rares chansons qui sont accompagnées d’un clip en arrière-plan.

Bref, le gameplay est simple, la musique est bonne, jusque là tout va bien.

Mais, tout l’intérêt de ce genre de jeu ne se limite pas à l’aspect « rythm game »: il réside aussi dans les cartes !, le GACHA !

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Pour 11 cartes, il faut avoir 300 prisms. C’est un nombre impressionnant mais j’ai été surprise par à quel point ils sont faciles à obtenir. On les accumule très vite, surtout au début où atteindre les objectifs des plus basiques rapporte un bon nombre de « prisms », et même passé ce stade, il y a régulièrement des « login bonus » spéciaux où on peut en recevoir beaucoup d’un coup. Résultat: dès le premier mois, j’ai pu tirer un bon nombre de fois et avoir un nombre conséquent d’UR et SR (=cartes ultra rares et super rares, pour les non-initiés). Ce n’était pas le parcours du combattant pour obtenir des cartes ultra rares comme ça avait pu l’être dans d’autres jeux du même style, comme par exemple (j’y reviens toujours) Love Live où ça m’avait pris UN AN avant d’en tirer une.

Sauf que… pour ma part… je ne tire pas beaucoup de plaisir de ces tirages pour la simple et bonne raison que je n’accroche pas aux personnages, et je ne trouve même pas les cartes spécialement jolies. Peut-être suis-je trop difficile; je vais vous montrer quelques cartes que j’ai en ma possession et vous me direz.

A la limite, la première… passe encore, mais globalement je suis déçue; cela dit, je pense que ça vient en grande partie du fait que, comme mentionné plus haut, les personnages me laissent indifférente, et il y en a aucun que je considère comme mon « préféré ». L’air de rien, c’est important dans ces jeux, parce que sans « best boy », rien ne motive vraiment à gagner et économiser des prisms et à tenter sa chance au gacha pour collectionner toutes les plus belles cartes de son « chouchou ».

Donc je fais des tirages, parce qu’il me faut bien des cartes, et en avoir des rares est la seule façon d’obtenir de bons scores lors des « lives », mais je ne ressens jamais aucune excitation en tirant, il n’y a aucune carte que je convoite, jamais de moment de joie quand les 11 cartes s’alignent…

Mais ça, c’est une affaire de goût, et si vous aimez déjà UtaPri et ses personnages, ou tout simplement que l’apparence des idols et des cartes vous plait, votre expérience sera différente de la mienne. Je ne connaissais rien à Love Live non plus quand j’ai commencé à y jouer, et j’ai juste eu le coup de coeur pour Nozomi; c’est une petite étincelle pour un personnage que je n’ai pas eu ici mais que vous, vous aurez peut-être.

Si néanmoins je devais choisir un personnage que, à mes yeux, se démarque des autres… ça serait probablement… Hijirikawa Masato. J’aime bien sa coupe. Donc c’est lui que j’ai choisi pour être sur mon écran d’accueil.

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Vous pouvez changer ce personnage à tout moment, et faire plein de choses chouettes avec lui ! C’est à ce moment-là que je regrette un peu de ne pas avoir de personnages favori, parce qu’il y a quelques fonctionnalités vraiment funs quand on peut les utiliser avec un personnage qu’on apprécie.

On peut le toucher pour qu’il nous parle, ce qui sert aussi à faire augmenter sa jauge d’affection. Si vous voulez un cadre un peu plus intime, vous pouvez même être en mode portrait, pour un vrai tête-à-tête. En fonction des cartes que vous avez, vous pouvez débloquer des costumes pour votre personnage et par conséquent l’habiller et le déshabiller à votre guise sur l’écran d’accueil.

Un truc que j’adore: il y a aussi un mode « appareil photo » !!!

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Souvenir de ma petite promenade à Strasbourg en compagnie de Cecil.

J’aurais adoré pouvoir faire ça avec Nozomi. Oui, je reparle de Love Live, car non, je ne suis pas encore tout à fait remise.

Bien sûr, à chaque fois que votre niveau augmente, vous pouvez débloquer des chapitres de l’histoire principale. La lire permet de débloquer les chansons que vous pouvez ensuite jouer en live.

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Pour les side stories des personnages, elles sont accessibles grâce aux cartes. Vous avez un « memorial board » rassemblant vos différentes cartes, et à partir de là, vous avez un système similaire à « l’idol road » d’Ensemble Stars (pour ceux qui connaissent) qui consiste en une sorte de « parcours » avec différents éléments à débloquer grâce aux items gagnés à la fin des lives. Par ce biais, vous pouvez donc non seulement débloquer des side stories mais aussi des costumes, des répliques, et bien sûr, augmenter les stats de la dite carte pour améliorer ses performances lors des lives.

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Et ce qui peut être un peu déstabilisant pour les habitués de Love Live, tels que moi, c’est qu’ici, avoir deux fois la même carte n’est d’aucune utilité: on ne peut « l’idolizée » et de ce fait en changer son apparence. Par contre, pour augmenter le niveau d’une carte, c’est un peu le même principe: il y a des « lessons » où vous pouvez utiliser vos cartes « rares » (celles qui valent le moins) pour augmenter le niveau d’autres cartes, mais, comme vu à l’instant, avoir une bonne carte, avec de bonnes stats, passe aussi par le memorial board.

Et sur ce, je ne vois pas ce que je pourrais dire de plus. J’espère que cet article était plus sur UtaPri que sur Love Live. Si vous attendiez la version anglaise, maintenant, vous savez à quoi vous attendre ! Je pense qu’il saura satisfaire les fans de la franchise; après, dans le genre, on peut trouver de meilleures applications mais… en japonais. UtaPri aura l’avantage d’être un des seuls disponibles en anglais, et je ne doute pas que ça lui permettra de trouver son public.

Même si je ne joue plus beaucoup, vous pouvez toujours m’ajouter, mon ID est le suivant: 886127760.

Pour bien commencer, vous pouvez suivre le twitter officiel, ils marchandent des prisms en échange de followers, donc plus nombreux vous serez à les suivre, plus vous avez de chance d’avoir un beau bonus pour démarrer. Et je crois savoir qu’ils font la même chose sur Facebook, si jamais vous êtes plus actifs là-dessus. Amusez-vous bien !

Publié dans Chronique

Mon avis sur Animal Crossing Pocket Camp, vite fait bien fait.

Je renais de mes cendres pour vous parler… d’Animal Crossing. Jadis, quand j’avais encore le temps d’écrire sur ~l’actualité~, je vous avais dit que Nintendo avait pour projet de sortir Animal Crossing sur mobile, et à peu près un an plus tard, nous voilà tous sans exception avec Animal Crossing « Pocket Camp » sur notre téléphone.

Et quand je dis « tous sans exception », je ne pense pas exagérer, tant et si bien que je ne pense pas avoir vraiment besoin de présenter le jeu et ses différentes fonctionnalités, vous êtes probablement déjà bien au-delà du niveau 20 et je n’ai plus rien à vous apprendre… Présentons-le quand même en quelques lignes pour les sceptiques qui hésitent encore à l’installer, ou pour les rares qui n’ont jamais joué à Animal Crossing, n’ont pas l’intention de le faire, mais qui lisent quand même cet article pour x raison.

Si dans New Leaf, le précédent opus de la franchise sur 3DS, on était maire d’un village, ici, on est responsable d’un camping ! C’est important de savoir se renouveler.

On cède donc notre maison pour un camping-car, avec lequel on peut se déplacer à différentes locations. On y trouve des campeurs, que des visages familiers, qui bougent toutes les trois heures, et pendant ce laps de temps, votre mission si vous l’acceptez est d’accéder à trois de leurs « requêtes ». Il s’agit de leur ramener des fruits, des poissons, des coquillages, des insectes,… En faisant ça, on augmente notre « niveau d’amitié » avec eux,et on reçoit des petites récompenses diverses et variées. Si on veut vraiment les garder près de nous, il faut faire construire tous leurs meubles préférer pour les convaincre de s’installer de façon permanente dans notre camping.

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On peut aussi se rendre à la place du marché (où il y a aussi un système de rotation entre les commerçants), à la carrière Cascayas (pour obtenir certains matériaux), ou à OK Motors (pour customiser votre camping car!!).

Dans les grandes lignes, c’est ça.

Et je ne vais pas vous mentir, ce jeu et moi, on a eu des débuts difficiles. Des chaussures hideuses que j’ai mis un temps fou à changer, des problèmes de connexion incessants, mais surtout, un concept qui ne m’emballait pas. Pourtant, j’adore Animal Crossing, depuis toujours!, et j’y ai joué sur toutes les consoles, et j’attendais cette version mobile avec impatience, mais une fois que je me suis retrouvée devant… je n’ai pas pris tant de plaisir que ça à y jouer. Mais cette histoire a une fin heureuse, je vous rassure. Parce qu’en effet, c’est très… répétitif, mais ça devient très vite addictif et au bout de quelques jours, j’y ai pris goût. Stefaon et Bibi ont aidé.

Ce que je trouve plutôt cool:

  • C’est gratuit. Et c’est sur mobile. Alors évidemment, ça ne remplace pas un Animal Crossing sur console, et de toute façon, je ne pense pas que ça soit le but (et c’est pour cette raison que je pense qu’il est futile de le juger selon les mêmes standards qu’un Animal Crossing sur console). Mais il est plus accessible, il y a déjà une très grande communauté autour, et pour ceux qui n’y avaient pas joué depuis Wild Word, ça fait plaisir de retrouver l’univers par ce biais-là.
  • Bien sûr, il y a des microtransactions, et je redoutais qu’on ait du mal à avancer dans le jeu sans sortir sa carte bancaire, mais, n’en déplaise à Tom Nook, c’est pas le cas du tout ! Parce que, pour la petite info, en plus des « clochettes », Pocket Camp a une autre monnaie, les « tickets verts », qu’on peut gagner mais aussi acheter, et, à ma grande surprise, on les accumule assez rapidement et on n’a jamais vraiment la nécessité d’en acheter pour faire quoi que ce soit dans le jeu (d’autant plus que la quasi totalité des trucs qui requièrent ces tickets peuvent aussi être obtenus avec un peu de PATIENCE).
  • Le filet de pêche et le miel pour attirer les insectes: bonne idée ! Je m’en sers jamais, certes, mais c’est quelque chose que j’espère revoir dans un futur Animal Crossing sur console.
  • C’est trop mignon.

Ce qui est quand même un peu dommage, à mon humble avis:

  • On ne peut pas jouer avec ses amis ! Un comble, je trouve. Alors oui, on peut visiter le camping des autres et donner des misérables « coolos » mais ça s’arrête là. On n’est pas ensemble, au même endroit, comme c’était le cas sur DS. On ne peut pas interagir avec ses campeurs non plus. C’est un peu frustrant et je vais espérer une mise à jour qui remédiera à ça dans le futur.
  • On ne peut pas nommer son camping, et à quoi sert Animal Crossing si je ne peux pas passer six longues heures à me décider sur le nom que je donne à mon camping et passer les six prochaines années à le regretter au point de parfois carrément recommencer ma partie juste pour pouvoir le renommer.
  • Je regrette aussi de ne pas voir plus de nouveaux personnages. Tout ce qu’on a, c’est le trio d’OK Motors. Mais pas l’ombre de nouveaux villageois. Pocket Camp aura au moins le mérite de faire ressusciter Grignote, villageois qui date du tout premier opus Animal Forest e+.
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En cherchant cette image, j’ai découvert qu’OK Motors était une agence de location de voitures en République Dominicaine. The more you know.
  • Quitte à garder une majorité de personnages déjà existants, j’ai trouvé étrange de ne pas revoir Joe ! Si vous avez joué à Animal Crossing New Leaf, et que vous avez fait la mise à jour « Welcome amiibo », qui consistait, justement, en un CAMPING (officiellement une « caravanerie ») vous connaissez le chien hippie, Joe, son gérant. Il avait tout pour faire partie de ce jeu, mais soit.

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  • Et d’ailleurs ! Autre grand regret ! On ne peut pas visiter les tentes des villageois ! Alors qu’un truc assez chouette dans Animal Crossing, c’était de voir comment chaque personnage décorait son intérieur. Ici, que dalle. Alors que dans Welcome amiibo (encore lui!), on POUVAIT. Mais bon, là encore, rien ne dit qu’une mise à jour ne le permettra pas dans le futur… on peut espérer !

Et avec ça, même en cherchant bien, je pense que je n’ai rien de plus à dire.  Ce que vous pouvez maintenant faire, c’est m’ajouter dans vos amis ! (Promis, je vous prêterai main-forte pour la carrière.)

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Si vous voulez copier/coller: 9192-8475-499
Publié dans Otome Game

Uma no Prince-sama !

D’habitude, je fais un effort avec mes titres, mais là le nom du jeu se suffit à lui-même. Uma no Prince-sama est un otome game sur portable sorti cette année chez USAYA Co., disponible depuis peu dans nos contrées sous le nom de My Horse Prince.

Les princes sont toujours à dos de cheval blanc, n’est-ce pas ? C’est dans cette optique là que notre héroïne prend des vacances dans un ranch. Mais elle n’y fera pas vraiment la rencontre à laquelle elle s’attendait…

Yuuma est un cheval, mais le twist, c’est qu’il a le visage d’un ikemen. On en oublierait presque le reste de son corps…

Si vous me connaissez un peu, vous savez que je suis une grande fan d’Hatoful Boyfriend, donc quand j’ai entendu parler d’un dating sim avec un cheval, j’ai foncé. Et c’est exactement ce à quoi je m’attendais: très fun et complètement absurde. Il y a peu d’otome games qui valent vraiment le détour sur portable, c’est souvent assez limité niveau contenu, mais c’est juste le bon format pour un OVNI comme « UmaPri ».

Le jeu ne prétend pas avoir une histoire, c’est juste un concept rigolo et décalé pour passer le temps. A chaque chapitre, une activité différente s’offre à vous. Par exemple: dans le premier chapitre, vous devez taper sur les carottes qui apparaissent à l’écran pour nourrir Yuuma. De chapitres en chapitres, on suit ce même principe: on tape sur des trucs pour que notre nouveau petit-ami à sabots dépense son énergie. Pour ne pas l’en vider complètement non plus, il faut lui faire la conversation. Vous avez à chaque fois trois choix différents et selon votre réponse, vous gagnez des cœurs. Le but est de remplir la jauge pour débloquer une scène romantique et passer au chapitre suivant.

On a vite fait le tour mais ça a le mérite d’être divertissant, et personnellement c’est le genre de connerie que j’aime bien. La seule contrainte, c’est que pendant un chapitre, on peut parler à Yuuma trois fois, et après il faut attendre 30 minutes avant de pouvoir lui reparler. Mais c’est pas grand chose comparé à certains otome games qui font parfois attendre le jour suivant pour donner accès à plus de chapitres… En plus, y’a moyen de débloquer une conversation supplémentaire en regardant une pub; c’est pas mal.

Je me doute que vous êtes sous le charme (je ne juge pas!!), et ça tombe bien parce qu’il est dispo en anglais gratuitement depuis le 8 décembre sur iOS et Android !

Publié dans Mobage, News

Love Live! School Idol Festival 4.0 + Update sur mon compte.

Retour au mois d’avril: j’ai écrit un article sur mon obsession du moment, Love Live! School Idol Festival. J’avais promis une suite, pour montrer un peu mon évolution dans le jeu, et j’avais prévu de faire ça après l’acquisition de ma première UR. Hé bah mon UR, je l’attends toujours… haha… ha…

Je fais quand même une update parce que bien des mois ont passés depuis avril, j’ai maintenant ma partie depuis mars donc j’ai quand même quelques cartes à montrer. Et surtout, en mai, j’avais fait un article pour présenter la version 3.0 et parler un peu de la 4.0 qui venait d’être annoncée. Et elle est disponible dans nos contrées depuis avant-hier ! Alors en même temps, je vais un peu parler de ça.

Tout l’intérêt de cette nouvelle version, c’est que les Aqours ont rejoint LLSIF. Donc, première nouveauté, un nouvel écran d’accueil avec les héroïnes de Love Live! Sunshine. Pas d’inquiétude, ce n’est pas pour autant que μ’s a disparu: vous pouvez altérner entre le mode μ’s et le mode Aqours grâce aux boutons qui se trouvent sur les pages Live Show et Scout.

Si vous quittez le jeu en mode μ’s, vous retrouverez l’ancien écran d’accueil. Si jamais il vous manque trop.

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Nouvel écran de chargement !

Avec ce nouveau groupe viennent évidemment plein de nouvelles cartes, et de nouvelles chansons ! Des cartes des membres d’Aqours bien sûr, mais aussi des nouvelles normies.

Le design des cartes a changé: je crois que je les préférais avant mais c’est peut-être juste une question d’habitude, j’ai pas envie de dire qu’elles sont moches, ça serait une exagération, mais je suis pas fan. Sans oublier le plus important: il y a aussi un tout nouveau type de carte: les SSR, dont le niveau de rareté se situe donc entre la SR et l’UR. J’ai piqué l’image sur le wikia de Love Live! parce que je n’ai, évidemment, pas encore de SSR… … haha. Ah.

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Plein de nouveaux « goals » aussi du coup ! C’est l’occasion de choper plein de love gems, friend points et cartes de toutes les idols d’Aqours. C’est aussi la fin des « daily goals », jouer votre premier live show de la journée vous garantira d’un seul coup ces récompenses.

Ce n’est pas que les cartes qui ont changé, l’interface de la liste des membres s’est refait une petite beauté aussi. L’écran affiche beaucoup plus de cartes qu’avant. Et les « support members » ont maintenant leur propre onglet.

On peut maintenant trier nos cartes de manière beaucoup plus précise, et sélectionner les « pratice partners » peut se faire de façon automatique. On peut aussi faire beaucoup plus de teams qu’avant, et la fonction « auto » pour en former s’est aussi précisée.

Vous aurez aussi remarqué la nouvelle section « School Idol Skills » sur la page Members. En fait, à chaque fin de live shows, vous gagnez maintenant des points qui aident à remplir la jauge ouvrant la « reward box ». Ce qu’on y gagne, entre autres, ce sont des « skills ». Ils servent tout simplement à améliorer les performances de vos cartes. Allez dans la liste de vos membres, choisissez une cartes et vous verrez des vignettes où vous pouvez ajouter des skills, pour, par exemple, augmenter les « Cool points » de la carte.

Notez aussi de nouveaux boutons: « Idolized » (permet d’alterner entre la version idolizée de la carte et la normale, c’est plus pratique que d’aller dans l’Album à chaque fois) et « Partner Up » (pour afficher une carte sur votre écran principal; avant c’était par défaut le leader de votre main team).

Aussi, on peut maintenant idolizer une carte avec des stickers, mais il en faut un nombre pas très raisonnable, donc je sais pas si c’est une fonctionnalité qui va être très utilisée ? Le nombre de stickers augmente en fonction de la rareté de la carte à idolizer, donc ça monte très haut et quand on sait comment obtenir les stickers, ça vaut pas tellement le coup.

Il y a aussi une nouvelle jauge d’XP pour augmenter le skill d’une carte, ce qui rend la tâche beaucoup plus facile !

Enfin, dans les B-sides, vous pouvez jouer un « random choice », une chanson aléatoire qui rapporte plus de points pour la reward box.

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A venir:

– Maintenant que les modes Expert sont disponibles pour toutes les chansons, un nouveau mode viendra bientôt le remplacer: on en a déjà parlé, c’est le mode Master.

– Bientôt un nouveau type d’event que vous connaissez déjà si vous avez la version JP du jeu: le challenge festival !


Je pense que j’ai fait le tour de tout ce qu’il y a de nouveau sur cette version 4.0, mais si j’ai loupé quelque chose, n’hésitez pas à me le dire ! J’espère que ça en aura aidé certains. Maintenant, parlons un peu de mon évolution.

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Publié dans Mobage, Otome Game

Meilleur otome game sur portable: Mystic Messenger.

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Surprenant titre, non ! Parce que vous savez ce que je pense des otome games sur téléphone, j’en ai parlé y’a pas bien longtemps, et si vous n’avez pas lu mon article sur le sujet, je vais vous le résumer en une phrase: les dating sims sur téléphone sont toujours nuls.

Et pourtant, c’est sur l’un d’eux que je passe mon temps en ce moment, et dont je vais vous parler aujourd’hui en allant même jusqu’à prétendre que c’est le meilleur.

Mystic Messenger: un nom qui vous dit peut-être quelque chose parce que, l’air de rien, l’application est assez populaire depuis quelques temps. C’est un otoge coréen développé par Cheritz.

L’héroïne que nous incarnons télécharge une application de chat, pensant qu’elle va pouvoir discuter avec plein de beaux gosses… c’est d’ailleurs exactement ce que je pensais que ce jeu allait être, alors qu’elle ne fut pas ma surprise, et celle de l’héroïne, quand nous nous sommes fait « hacker » et rediriger vers le chat de la R.F.A. Je sais ce que vous vous dites: moi aussi, au début, tout ce que ça m’évoquait, c’était la République Fédérale d’Allemagne, mais c’est en fait la Rika’s Fundraising Association. Le chat sur lequel nous sommes est donc celui qu’utilisent les membres de l’association pour communiquer, et on apprend que cette dernière n’est plus très active depuis le décès de la fondatrice, Rika. Elle organisait de grandes fêtes avec des invités venant de tous les milieux, et récoltait des fonds pour des associations. Mais voilà un an et demi qu’elle est partie, et plus personne n’a la motivation d’organiser des fêtes sans elle.

Tout est chamboulé quand notre héroïne débarque sur le chat. Non seulement un mystérieux hacker lui a donné accès à cette application privée dont l’accès est très restreint, mais en plus il lui demande de se rendre à une adresse qui se révèle être celle de l’appartement de la défunte Rika. Personne n’a la moindre idée de qui est derrière tout ça, mais on finit par conclure que quelqu’un nous a envoyé pour prendre la relève de Rika; notre héroïne joint donc la RFA et a maintenant pour mission de faire revivre l’association en organisant une fête.

Et comme vous pouvez le voir, tout le jeu se passe sur le chat. C’est pour ça que Mystic Messenger marche aussi bien et qu’il est aussi immersif: l’action se déroule sur une application, et c’est exactement ce sur quoi on joue, c’est un concept qui ne peut que marcher sur un téléphone. Et le concept en question est vraiment bien exécuté, on y croit !, les personnages tombent dans certains clichés mais n’en reste pas moins tous uniques et attachants, les conversations sont « réalistes », naturelles. C’est comme sur une vraie application de messenger: ils font des fautes d’orthographes, envoient des stickers, des emojis et des photos, écrivent avec différentes polices,…

C’est très bien fait ! Et c’est drôle, c’est prenant et divertissant, et évidemment, notre personnage participe aux conversations et c’est de cette façon que se manifestent les choix qui détermineront la route que vous allez jouer.

Autre chose contribuant au caractère immersif du jeu: il est en temps réel. Une partie s’étale sur 11 jours, et tous les jours, à divers moments de la journée, des convos s’ouvrent et vous devez y prendre part pour avancer dans l’histoire. Si vous en manquez une, vous pouvez quand même la lire mais cela ne fera pas augmenter la jauge; vous pouvez éventuellement utiliser 5 sabliers (la monnaie du jeu) pour pouvoir joindre une ancienne conversation. Une convo est disponible jusqu’à la suivante commence.

De temps en temps, vous pouvez basculer en « visual novel mode », et le temps d’un instant, l’action prend place dans la vraie vie, et pas sur le chat. Ce n’est une possibilité récurrente qu’après une semaine de jeu.

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Publié dans Mobage, Otome Game

Otome games sur téléphone: qu’est-ce que ça vaut ?

Rien. Fin de l’article. Circulez.

Non, en fait, restez, je vais bien trouver des trucs à dire. Mais le fait est que pendant longtemps j’ai voulu avoir un smartphone juste pour avoir accès à plus d’otome games, et maintenant que c’est chose faite, je me rends compte que je loupais pas grand chose.

Sauf que, comme vous avez pu l’apprendre dans mon dernier slice of life, je n’ai plus de pc sur lequel lire des visual novels de qualité, alors il fallait bien que je me rabatte sur quelque chose. Cet article aura donc pour utiliser de partager avec vous ce à quoi j’ai touché dernièrement.

Alors je vous le dis tout de suite, j’ai pas eu énormément de chance avec les dating sim: les scénarios sont généralement pas très recherchés, ni très travaillés.

Ce qui peut valoir le coup, c’est:

– Les otome games d’Accela, Inc., que j’ai découvert avec Romance Illégale et Un amour inattendu. Le premier était un peu prévisible et reprend cette trope de l’héroïne amnésique qu’on a déjà vu plus d’une fois auparavant dans ce genre de jeux, mais le deuxième a été une plus agréable surprise puisqu’il propose d’incarner une femme enceinte, chose un peu plus rare dans les otoges ! C’est sympathique, les dessins sont beaux, et c’est pas transcendant mais ça plaira aux amateurs du genre. On dispose d’une page pour personnalisé notre avatar, et on y retrouve plusieurs options payantes, mais un des avantages des jeux de ce développeur, c’est qu’on peut les terminer sans jamais rien avoir à payer. Et en plus, ils sont en français ! Alors voici la liste de leurs jeux, si jamais ça vous intéresse: ils sont disponibles sur iOS et Android.

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– Sinon, en anglais, il y aussi les Shall we date? développés par NTT Solmare qui ne sont pas mal. A peu près les mêmes avantages: c’est gratuit, c’est ce à quoi peut s’attendre d’un otome game sur portable, ça se laisse lire, les graphismes sont très beaux et assez travaillés pour le coup,… Et je trouve les univers atypiques, originaux. J’ai commencé avec THE NIFLHEIM+, qui se passe dans le royaume des morts et où on peut draguer un zombie, un squelette,… ça change de ce qu’on peut voir d’habitude.

La liste de leurs jeux est par ici!, et ils ont aussi une sélection de jeux payants.

Voilà, ça pourrait vous intéresser, mais le tout dans le tout, rien ne m’a vraiment conquise, et la plupart du temps, le souci des otome games sur mobile, c’est qu’il faut payer tous les chapitres. Alors certains, comme ceux dont j’ai parlé plus haut, vous laisse lire un certain nombres de chapitres gratuits par jour, et si vous n’avez pas envie de payer la suite, il suffit d’attendre le lendemain pour débloquer la suite: un peu contraignant mais raisonnable. D’autres ne laissent pas le choix. Ma plus mauvaise expérience, ça a été un otome game de 3D Publisher: The Men of Yoshiwara ~Forbidden Romance~.

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C’est dommage parce que j’avais vraiment envie d’aimer ce jeu. Je l’avais déjà évoqué sur ce blog parce que j’avais acheté la version PC sur Steam (qui heureusement!! était en promo, parce qu’elle est à 30€ en temps normal; un peu cher pour ce que c’est!). Elle est déjà pas terrible, mais la version mobile c’est à la limite de l’arnaque.

L’univers me plait bien, l’histoire se déroule à Yoshiwara, le « quartier des plaisirs », sauf que dans ce jeu, les prostitués ne sont pas des femmes, mais des hommes!, et on a un large choix de beaux mâles à draguer. En plus, le graphisme est génial, et les sprites sont animés en 2D contrairement à la version sur PC !, mais c’est pas spécialement bien écrit et les routes se ressemblent un peu toutes. Et le pire, c’est donc que le premier chapitre (très court) est gratuit et qu’il faut payer pour tout le reste… Ca revient à une certaine somme à la fin, et ça vaut pas le coup.

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Mais puisqu’on parle de jeux sur Steam qui sont aussi disponibles sur téléphone, laissez-moi mentionner Hatoful Boyfriend. La version iOS est sortie très récemment, et je l’ai acheté sans même réfléchir, parce que j’aime tellement ce jeu… J’en ai déjà parlé donc je ne fais plus les présentations. Maintenant, la question est de savoir si mon achat était un choix judicieux.

Les deux versions sont presque identiques, à une exception prêt: dans cette nouvelle version, on retrouve la route de Nishikikoji Tohri, avant cela seulement disponible sur PS4. Et c’est une route sympa, moins « romantique » que les autres mais très rigolote. Cela dit, si vous avez déjà la version PC, ça vaut pas le coup de dépenser de l’argent pour celle-ci… Mais inversement, si vous n’avez pas les moyens pour la version PC, celle sur iOS est seulement à 4,99€, et après avoir payé ça, vous avez accès à toutes les routes gratuitement, c’est exactement pareil que sur PC mais à moindre prix.

Mais là où j’ai réellement trouver mon bonheur, c’est pas dans les dating sim, c’est dans les bonnes grosses niaiseries gênantes.

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Ces otome games là reprennent le principe des très populaires situations CD/otome CD au Japon; l’idée est de vous faire susurrer des mots doux à l’oreille par de jolis garçons. Y’a même pas d’histoire, c’est juste un tête à tête avec un bishounen. Pour moi, c’est la définition du plaisir coupable.

Des jeux comme ça, il y en a plein, mais le premier que j’ai découvert en anglais, c’est Love Him, Poke Him (Love & Poke). L’application nous propose plusieurs situations et petits copains différents, vous choisissez et en fonction de la façon dont vous touchez l’écran, votre nouveau compagnon vous répondra. A ce jour, on retrouve:

« Reversible Boyfriend » où on peut interagir soit avec un petit-ami dominant, ou un petit-ami dominé. « Anniversary Boyfriend » où vous vous rappelez de vos plus beaux souvenirs ~ « Carrot and Stick Boyfriend », où vous avez un copain qui tente de vous motiver, que ça soit par la manière forte, ou la manière douce. « Newlywed Darling » où vous avez le choix entre deux maris. « YESxNO Boyfriend », où vous pouvez décliner ou accepter des propositions de trois copains différents. Et « Firsts With You » où vous expérimentez des premières fois avec un des deux copains proposés.

Idéal si vous êtes amateurs des voix suaves des seiyuu japonaises. Et mettez vos écouteurs surtout ! L’avantage, c’est que vous n’avez pas besoin de comprendre le japonais, les paroles sont retranscrites en anglais. Seul bémol, c’est qu’on fait vite le tour, et que pour débloquer plus de dialogues, il faut payer…

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Le meilleur pour la fin: Sleepy-time Boyfriend. Même principe que le jeu ci-dessus: vous avez toute une sélection de boyfriends, il vous suffit de choisir celui que vous voulez pour passer un moment intime avec, avant d’aller vous coucher ! Il y a 13 personnages différents, qui ont des voix qui ne vous seront pas inconnues: Fukuyama Jun, Hirakawa Daisuke, Hiroyuki Yoshino,… Par contre, là aussi, plus on en veut, plus il faut payer, mais la version gratuite se suffit à elle-même, parce qu’attention, j’espère que vous êtes bien assis:

la particularité de cette application, c’est qu’elle sert aussi de réveil. Brillant ! Choisissez le beau gosse par lequel vous voulez être réveillé, et il vous tirera du lit de sa douce voix le lendemain matin. Tout à fait mon genre de niaiserie, 10/10.


Et je vais m’arrêter là pour aujourd’hui ! En conclusion: vraiment pas fan des dating sim sur portable. Mais les « situations games » sont pas mal, ça vaut pas les CD, mais comme pour les dating sim… on fait avec, et on déniche des trucs chouettes, malgré tout ! J’espère récupérer un PC prochainement pour vous reparler à nouveau de bons visual novels, parce que ça me manque; en attendant, j’espère que votre lecture fut agréable !

Publié dans Mobage

Obsession du moment: Love Live! School idol festival.

Alors… après des années passées avec des portables à touches, il m’est arrivé quelque chose d’assez incroyable, que personne autour de moi n’aurait soupçonné: j’ai abandonné mon Nokia Asha pour un iPhone 4S. Et c’est un nouveau monde de possibilités qui s’est ouvert à moi: je peux maintenant télécharger des applications !! Je ne sais pas si c’est vraiment une bonne chose parce que je ne sais pas aimer des choses sainement: j’avais à peine téléchargé mon premier jeu que j’y étais accro, et si j’écris ces lignes aujourd’hui, c’est pour vous en parler !

Love Live! School idol festival est un jeu de rythme disponible sur iOS et Android depuis 2013 (2014 pour la version anglaise). On le doit à Bushiroad et KLab. Il est bien sûr tiré de la franchise Love Live!, que vous connaissez, parce que, que vous aimiez ou non, vous n’avez pas pu passer à côté.

J’aime beaucoup ce genre de jeux, j’ai joué à Osu! pendant des années et des années, et quand j’ai vu une de mes amies jouer à ce jeu qu’on abrégera LLSIF, j’ai tout de suite accroché; dès que j’ai su que j’allais peut-être avoir un iPhone, la seule chose à laquelle je pensais, c’est que j’allais enfin avoir un portable sur lequel je pouvais y jouer. Pourtant, je me suis jamais intéressé à ce titre, j’ai bien essayé l’anime mais… vraiment pas fan. Mais ce jeu-là… est addictif!!!, et donc maintenant, ça fait environ un mois que j’y joue!, du coup, je suis pas encore très douée et je suis pas très loin dans l’histoire. Je suis pas une experte, j’ai pas encore vu tout ce qu’il y avait à voir, mais j’avais très envie de vous en parler, et de partager un peu avec vous tout ce que j’ai fait jusqu’à présent.

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Le gameplay ! Tout commence avec un mode Histoire (il y a 33 chapitres contenant chacun trois ou quatre histoires donc y’a de quoi faire), sous forme de kinect novel: on suit les membres de μ’s et, au fur et à mesure qu’on avance dans les chapitres, on débloque des chansons à jouer en « live ».
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C’est un jeu de rythme, donc très simple: il faut taper sur les cercles en rythme avec la musique (il faut aimer la musique d’idol, c’est de la pop édulcorée, c’est pas au goût de tout le monde j’imagine). Parfois il faut appuyer sur taper sur deux cercles en même temps, parfois il faut rester appuyer un certain temps,… La difficulté augmente en fonction du mode: Easy, Normal, Hard ou Expert. En fonction de notre score, on obtient une note entre D et S. On pourrait croire que c’est pas plus compliqué que ça, mais il faut plus que le sens du rythme pour obtenir un bon score.

Sur LLISF, le but, c’est aussi de collectionner des cartes. Et avec les cartes qu’on collecte, on se constitue des équipes. Toutes les cartes du jeu sont réparties en trois catégories: Smile, Cool et Pure. Et ça tombe bien, parce que les chansons sont elles-aussi réparties dans ces trois catégories. Ce qu’il faut alors se faire, c’est au minimum trois équipes: une équipe de cartes Smile, une autre de cartes Cool, et une dernière, de cartes Pure.

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Mais ce n’est pas avec n’importe quelles cartes qu’on fait une bonne équipe. Elles sont classées selon leur rareté: N, R, SR et UR.

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