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Je veux me battre avec Animal Crossing: New Horizons

Qui se souvient de ce jeu ? Pas moi ! Et pourtant, il va à peine fêter son premier anniversaire. Sorti pile au bon moment, à l’aube d’un confinement où on avait tous et toutes le loisir de se plonger dans ce nouvel opus, Animal Crossing: New Horizons, une des sorties Switch les plus anticipées, avait tout pour être un succès. Mais en ce qui me concerne, ce n’est ni plus ni moins que 60€ très mal dépensés.

Dans cet article, je vais revenir sur ce que j’aime bien, mais surtout sur ce que j’aime moins, dans ACNH. Cet article n’a pas pour vocation d’être une review complète ou objective… il y aura de la mauvaise foi, j’écris avant tout pour extérioriser ma frustration, et je ne vais pas m’embêter à commenter tous les aspects du jeu non plus. Aujourd’hui, le but, ce n’est pas de présenter le jeu et de donner mon avis dessus, c’est juste de cracher dessus. Maintenant qu’on est d’accord là-dessus… c’est parti !

Mon ~histoire~ avec Animal Crossing

Un peu de contexte avant d’entrer dans le vif du sujet… Je me considère comme une fan de la série et j’ai acheté la plupart de mes consoles Nintendo dans le seul but de jouer à Animal Crossing. C’est d’ailleurs le cas de la Switch, que je calculais à peine… jusqu’à ce que New Horizons soit annoncé. Les trailers étaient prometteurs, j’étais au max de la hype et je l’ai acheté le jour de sa sortie.

Si je raconte tout ça, c’est pour montrer que je ne partais pas pessimiste, que j’ai accueilli ce jeu à bras ouverts, mais que, n’étant pas une néophyte, je l’ai aussi inévitablement comparé à ses prédécesseurs. Voilà qui vous aidera peut-être à encore mieux comprendre mon avis quand je vous le donnerai… mais avant ça ! Encore une chose…

Quoi de new dans New Horizons ?

Animal Crossing, c’est un simulateur de vie, c’est un jeu qui n’a pas de fin, et, aussi longtemps qu’on ne s’en lasse pas, il y a toujours quelque chose à y faire. Mais ça existe depuis le tout début des années 2000 maintenant ! ça date ! On pourrait avoir l’impression d’avoir fait le tour de la question… Donc à chaque nouvel épisode, la saga se doit de se renouveler un peu. Sur Wii, on pouvait aller en ville ! Sur 3DS, on pouvait aussi aller en ville, mais en plus!, on était maire-esse ! Et maintenant, sur Switch, on est carrément à la tête d’une île. Île qu’on peut personnaliser à fond : on peut fabriquer toutes sortes de meubles et d’objets, on peut aller chercher les matériaux nécessaires sur d’autres îles et, surtout!, on peut terraformer!, c’est-à-dire qu’on peut créer des chemins, des falaises et des rivières. Trop bien, non ? Sur le papier, on adore. Mais en pratique… oooh, en pratique! rien que d’y penser… je vois rouge…

Ce que j’ai bien kiffé

On va commencer par le positif. Je vous rassure, ça ne va pas nous prendre beaucoup de temps.

Dans mon article consacré à New Leaf, l’opus sur 3DS, je faisais la liste des choses que j’aimerais bien voir dans le prochain jeu, et certaines de mes prières ont été entendues !

  • On peut désormais choisir où les villageois-es s’installent. Encore mieux ! On peut quasiment choisir nos villageois-es. Lorsqu’on place une parcelle, on a quelques jours pour soit laisser le hasard faire les choses, soit partir en quête d’un-e villageois-e qui nous plaît. On peut faire le tour des îles jusqu’à trouver une tête qu’on aime bien, proposer à un-e campeur-euse d’emménager, s’arranger avec d’autres joueur-euses pour récupérer un-e de leur villageois-e sur le point de déménager, faire venir un-e nouvel-le habitant-e grâce à une carte Amiibo,… Si on s’y prend bien, et qu’on a de la patience, on peut trier ses villageois-es sur le volet. En ce qui me concerne, j’ai pu réaliser mon ~rêve~ : une île entièrement constituée de cerfs.
Le gang.
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Mon avis sur Animal Crossing Pocket Camp, vite fait bien fait.

Je renais de mes cendres pour vous parler… d’Animal Crossing. Jadis, quand j’avais encore le temps d’écrire sur ~l’actualité~, je vous avais dit que Nintendo avait pour projet de sortir Animal Crossing sur mobile, et à peu près un an plus tard, nous voilà tous sans exception avec Animal Crossing « Pocket Camp » sur notre téléphone.

Et quand je dis « tous sans exception », je ne pense pas exagérer, tant et si bien que je ne pense pas avoir vraiment besoin de présenter le jeu et ses différentes fonctionnalités, vous êtes probablement déjà bien au-delà du niveau 20 et je n’ai plus rien à vous apprendre… Présentons-le quand même en quelques lignes pour les sceptiques qui hésitent encore à l’installer, ou pour les rares qui n’ont jamais joué à Animal Crossing, n’ont pas l’intention de le faire, mais qui lisent quand même cet article pour x raison.

Si dans New Leaf, le précédent opus de la franchise sur 3DS, on était maire d’un village, ici, on est responsable d’un camping ! C’est important de savoir se renouveler.

On cède donc notre maison pour un camping-car, avec lequel on peut se déplacer à différentes locations. On y trouve des campeurs, que des visages familiers, qui bougent toutes les trois heures, et pendant ce laps de temps, votre mission si vous l’acceptez est d’accéder à trois de leurs « requêtes ». Il s’agit de leur ramener des fruits, des poissons, des coquillages, des insectes,… En faisant ça, on augmente notre « niveau d’amitié » avec eux,et on reçoit des petites récompenses diverses et variées. Si on veut vraiment les garder près de nous, il faut faire construire tous leurs meubles préférer pour les convaincre de s’installer de façon permanente dans notre camping.

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On peut aussi se rendre à la place du marché (où il y a aussi un système de rotation entre les commerçants), à la carrière Cascayas (pour obtenir certains matériaux), ou à OK Motors (pour customiser votre camping car!!).

Dans les grandes lignes, c’est ça.

Et je ne vais pas vous mentir, ce jeu et moi, on a eu des débuts difficiles. Des chaussures hideuses que j’ai mis un temps fou à changer, des problèmes de connexion incessants, mais surtout, un concept qui ne m’emballait pas. Pourtant, j’adore Animal Crossing, depuis toujours!, et j’y ai joué sur toutes les consoles, et j’attendais cette version mobile avec impatience, mais une fois que je me suis retrouvée devant… je n’ai pas pris tant de plaisir que ça à y jouer. Mais cette histoire a une fin heureuse, je vous rassure. Parce qu’en effet, c’est très… répétitif, mais ça devient très vite addictif et au bout de quelques jours, j’y ai pris goût. Stefaon et Bibi ont aidé.

Ce que je trouve plutôt cool:

  • C’est gratuit. Et c’est sur mobile. Alors évidemment, ça ne remplace pas un Animal Crossing sur console, et de toute façon, je ne pense pas que ça soit le but (et c’est pour cette raison que je pense qu’il est futile de le juger selon les mêmes standards qu’un Animal Crossing sur console). Mais il est plus accessible, il y a déjà une très grande communauté autour, et pour ceux qui n’y avaient pas joué depuis Wild Word, ça fait plaisir de retrouver l’univers par ce biais-là.
  • Bien sûr, il y a des microtransactions, et je redoutais qu’on ait du mal à avancer dans le jeu sans sortir sa carte bancaire, mais, n’en déplaise à Tom Nook, c’est pas le cas du tout ! Parce que, pour la petite info, en plus des « clochettes », Pocket Camp a une autre monnaie, les « tickets verts », qu’on peut gagner mais aussi acheter, et, à ma grande surprise, on les accumule assez rapidement et on n’a jamais vraiment la nécessité d’en acheter pour faire quoi que ce soit dans le jeu (d’autant plus que la quasi totalité des trucs qui requièrent ces tickets peuvent aussi être obtenus avec un peu de PATIENCE).
  • Le filet de pêche et le miel pour attirer les insectes: bonne idée ! Je m’en sers jamais, certes, mais c’est quelque chose que j’espère revoir dans un futur Animal Crossing sur console.
  • C’est trop mignon.

Ce qui est quand même un peu dommage, à mon humble avis:

  • On ne peut pas jouer avec ses amis ! Un comble, je trouve. Alors oui, on peut visiter le camping des autres et donner des misérables « coolos » mais ça s’arrête là. On n’est pas ensemble, au même endroit, comme c’était le cas sur DS. On ne peut pas interagir avec ses campeurs non plus. C’est un peu frustrant et je vais espérer une mise à jour qui remédiera à ça dans le futur.
  • On ne peut pas nommer son camping, et à quoi sert Animal Crossing si je ne peux pas passer six longues heures à me décider sur le nom que je donne à mon camping et passer les six prochaines années à le regretter au point de parfois carrément recommencer ma partie juste pour pouvoir le renommer.
  • Je regrette aussi de ne pas voir plus de nouveaux personnages. Tout ce qu’on a, c’est le trio d’OK Motors. Mais pas l’ombre de nouveaux villageois. Pocket Camp aura au moins le mérite de faire ressusciter Grignote, villageois qui date du tout premier opus Animal Forest e+.

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En cherchant cette image, j’ai découvert qu’OK Motors était une agence de location de voitures en République Dominicaine. The more you know.

  • Quitte à garder une majorité de personnages déjà existants, j’ai trouvé étrange de ne pas revoir Joe ! Si vous avez joué à Animal Crossing New Leaf, et que vous avez fait la mise à jour « Welcome amiibo », qui consistait, justement, en un CAMPING (officiellement une « caravanerie ») vous connaissez le chien hippie, Joe, son gérant. Il avait tout pour faire partie de ce jeu, mais soit.

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  • Et d’ailleurs ! Autre grand regret ! On ne peut pas visiter les tentes des villageois ! Alors qu’un truc assez chouette dans Animal Crossing, c’était de voir comment chaque personnage décorait son intérieur. Ici, que dalle. Alors que dans Welcome amiibo (encore lui!), on POUVAIT. Mais bon, là encore, rien ne dit qu’une mise à jour ne le permettra pas dans le futur… on peut espérer !

Et avec ça, même en cherchant bien, je pense que je n’ai rien de plus à dire.  Ce que vous pouvez maintenant faire, c’est m’ajouter dans vos amis ! (Promis, je vous prêterai main-forte pour la carrière.)

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Si vous voulez copier/coller: 9192-8475-499

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Animal Crossing – Happy Home Designer: réveillez la Valérie Damidot qui sommeille en vous.

J’ai craqué. J’ai craqué très rapidement, le lendemain de sa sortie, en fait. Le week-end où j’aurais dû réviser pour mes examens. … Peut-être pas la décision la plus sage que j’ai prise de ma vie, mais qu’est-ce que je ne ferais pas pour Animal Crossing. Si vous aussi vous aimez Animal Crossing, et que ça vous intéresse de me lire là-dessus, j’ai déjà écrit un article sur New Leaf il y a quelques mois: il est ici ! Mais aujourd’hui, c’est pour parler du spin-off, « Happy Home Designer », que je suis là. Cet opus est entièrement consacré à la déco, et non plus à la « simulation de vie ».

Notre personnage travaille donc chez Nook Immobilier après que celui-ci est agrandi son agence, et se soit installé à « New Town ». Nos collègues sont des personnages que l’on connait déjà des précédents opus, à savoir Lionel et Max, ainsi que Marie qui traîne beaucoup à l’agence puisqu’elle se charge des projets communautaires. Il y a également une petite nouvelle: Lou, la nièce de Lionel !

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Stéphane Plaza et son équipe.

Notre seule activité dans ce jeu est donc de décorer des maisons, et des bâtiments publics. Ca parait peu dit comme ça, et effectivement, ça devient vite répétitif, mais rassurez-vous, y’a quand même de quoi faire !

Mais avant d’aller plus loin, il faut que je clarifie quelque chose. Ce n’est pas la première fois que je parle d’Happy Home Designer sur ce blog, je l’avais déjà fait quand il avait été annoncé, et à ce moment-là, c’était encore un peu confus dans ma tête: ça marche avec des cartes amiibo, mais où est l’intérêt ? est-ce qu’on peut jouer sans ? est-ce que Nintendo essaie juste de me ruiner par tous les moyens possibles ? Avant d’aller plus loin, je vais vous éclairer sur ce sujet.

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Chaque jour, quatre nouveaux habitants apparaissent dans notre ville, et à force de jouer, on débloque les +300 habitants du jeu. Mais si vous êtes impatients, et qu’il y a un personnage précis que vous voulez voir apparaître immédiatement dans votre ville, il vous suffit de scanner sa carte amiibo. Grâce aux cartes amiibo, vous pouvez aussi inviter des personnages dans des maisons que vous avez décoré ou dans des bâtiments de votre ville. Il y a aussi des cartes « spéciales », qui offrent les mêmes possibilités, mais avec des personnages « spéciaux »; comprenez par là, les personnages qui ne sont pas des villageois, soit Tom Nook, Resetti, Kéké,… Trois séries de cartes vont paraître, et contiendront chacune 100 cartes (83 villageois et 17 personnages spéciaux). Il y en a déjà une disponible dans le monde entier, et la prochaine sortira le 30 octobre au Japon. Voilà.

Tout ce que vous devez retenir de ça, c’est que vous n’en avez pas besoin pour avancer dans le jeu. C’est 100% optionnel, et heureusement, parce qu’un paquet coûte environ 5€, et ne contient que 3 cartes, et c’est totalement au hasard. C’est à dire que si vous voulez un personnage en particulier, et que vous tombez pas dessus au premier coup, vous allez devoir acheter des paquets de carte jusqu’à ce que vous tombiez dessus, et vous allez probablement amassez plein de cartes en double, voire en triple. Et c’est même pas le pire: il n’y a que la New Nintendo 3DS qui lit les cartes amiibo. Si vous avez une 3DS, 3DS XL ou une 2DS, il faut acheter un lecteur NFC, et il coûte 20€. Je claque beaucoup d’argent dans Animal Crossing, mais j’ai des limites, et ça, c’en est une.

Bref, fermons la parenthèse sur les cartes amiibo et passons aux choses sérieuses.

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Yup. That’s me.

Commençons par le commencement.

Ci-contre, c’est moi.

Tom Nook sait qu’un nouvel employé va arriver dans son agence, et questionne Lou à son sujet: c’est comme ça qu’on créé notre personnage, qu’on lui donne son prénom et son physique.

Dans les précédents opus, il y avait un certain nombre de visages prédéfinis, et on s’en voyait attribué un en fonction des réponses qu’on donnait aux questions à Charlie/Amiral. Après, on pouvait changer notre coupe et notre couleur de cheveux en allant chez l’Esthetichien, et, dans New Leaf, on pouvait même avoir des lentilles de couleur.

Dans Happy Home Designer, on a directement le choix entre toute une gamme de visages, coupes, couleurs de cheveux, et même couleurs de peau (!!!!!). Comme ça, dès le début du jeu, on a un personnage qui nous plait.

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Meet my Animal Crossing-self.

J’ai l’impression d’avoir passé ma vie à jouer à Animal Crossing. Vous voyez, je suis pas une grande amatrice de jeux-vidéos, et j’ai toujours trouvé ça un peu trop cher. Mais il y a quelques rares titres pour lesquels j’ai littéralement dépensé des centaines d’euros, et l’un d’eux, c’est… Animal Crossing (!). J’ai acheté une Game Cube pour Animal Crossing, une DS pour Wild World, et j’ai placé toutes mes économies dans une 3DS pour New Leaf. Je joue à ce dernier opus depuis un peu moins de deux ans maintenant; et… j’avais pour projet de parler un peu des nouveautés qu’on y trouvait, mais je viens de réaliser qu’il est sorti en juin 2013 et que j’arrive peut-être un peu tard pour en parler. … Tant pis !

Alors avant de commencer, je crois que je devrais un peu vous donner deux/trois détails sur le jeu, mais… honnêtement, dans quelle genre de contrée reculée faut-il habiter pour ne pas savoir ce que c’est Animal Crossing. Quand j’étais petite, encore plus petite que je ne l’étais déjà aujourd’hui, Wild World était un véritable phénomène, c’était assez dur de passer à côté. Du coup, je ne pense pas qu’une présentation du jeu soit nécessaire, mais… comme on ne sait jamais:

En gros, Animal Crossing est un jeu type « simulation de vie »; on débarque dans un petit village, peuplé d’animaux anthropomorphes, et… on vit notre petite vie, il y a plein de choses à faire, d’activités diverses et variées, mais le vrai but, c’est surtout d’avoir beaucoup d’argent et de collectionner un max de trucs. Il y a 4 opus disponibles en France: Animal Crossing sur Game Cube, Animal Crossing: Wild World sur DS, Animal Crossing: City Folk sur Wii, et Animal Crossing: New Leaf sur 3DS (c’est celui dont on parle dans cet article!!).

Alors heureusement, ces jeux ne sont pas des copies plates les uns des autres, ce n’est pas que la plateforme qui change: Animal Crossing évolue, chaque nouveau jeu apporte son lot de nouveautés, tant et si bien que, à chaque fois, on se demande ce qu’on foutait dans l’opus précédent. C’est particulièrement le cas avec New Leaf: j’ai passé des années de ma vie à gaspiller des heures et des heures de mon temps sur Wild World, et pourtant quand je joue à New Leaf, je me demande bien ce qu’il y avait de si passionnant à faire avant. Mais bref, avant de passer à toutes les nouvelles fonctionnalités, il y a quelqu’un qu’il faut que je vous présente.

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C’est moi. Le moi d’Animal Crossing. Alors oui, lorsque j’ai créé ma partie, j’étais encore dans cette sombre période de ma vie où je me faisais appeler Regaru. Je suis donc le Maire Regaru et je n’en suis pas très fière, mais je suis trop loin dans ma partie pour tout recommencer juste pour pouvoir changer de pseudo… Je suis maire de TOKYO-3 !, référence à Neon Genesis Evangelion, j’espère que vous l’avez tous comprise tout de suite !(!!). Et comme vous pouvez le voir, je suis un maire plutôt mignon.

Reggy

4914 – 3814 – 4301

J’ai une ville un peu trop naze pour avoir un code onirique, mais si vous voulez qu’on se fasse une petite partie wifi dans ma ville ou dans la vôtre, n’hésitez pas à m’ajouter à vos amis ! Même si vous n’avez pas Animal Crossing, mais que vous avez une 3DS et que vous voulez m’ajouter à vos amis, ça marche aussi: mon code ami est ci-dessus, donnez-moi le vôtre dans les commentaires !

Ceci étant dit !, on va passer aux nouveautés, à toutes les choses que vous pouvez faire (et ne pas faire !) dans le jeu, et par le biais de ce listing, je pourrais vous dire un peu plus de choses au sujet de ma ville.

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