Publié dans Slice of Life

Slice of Life – écoutez folklore

Alors qu’on peut maintenant compter sur les dix doigts des mains les jours restants jusqu’à la fin des vacances d’été, je reviens avec un slice of life où je vais, comme le nom l’indique, un peu parler de ce qu’il se passe dans ma vie ! Chose que je n’ai pas vraiment faite la dernière fois… d’une part parce que je revenais d’une longue absence et que j’avais plein de films, séries et chansons à partager avec vous et, d’une autre part, parce que je n’avais pas spécialement envie de parler de moi à un moment où je n’étais pas au top de ma forme et où j’étais encore pleine d’incertitudes quant à mon avenir. Cette fois, Je vais m’étaler un peu plus sur ce qu’il s’est passé dans ma vie ces derniers mois (et sur ce qui m’attend par la suite) mais, avant… mes derniers coups de cœur !

Si je vous dis enemies to lovers… si je vous dis enemies to lovers mais ! avec des lesbiennes… est-ce que vous pensez à Killing Eve ou à She-Ra ? Question piège : il faut penser aux deux et les regarder sans plus attendre !!!

Je voulais commencer Killing Eve depuis un moment… depuis toujours, même !… et je me suis lancée alors que la troisième saison était encore en cours de diffusion avec encore deux ou trois épisodes restants. Si cette dernière était fort décevante et a passé trop de temps sur des personnages secondaires chiants comme la mort et pas assez sur… le personnage à qui la série doit son nom… ce n’est pas pour autant que j’ai regretté d’avoir commencé ! Les deux premières saisons sont une vraie montagne russe, la tension entre Eve et Villanelle nous tient en haleine tout du long et rarement j’ai été aussi absorbée par une relation entre deux personnages.

Pour celles et ceux qui lisent ces lignes depuis tout à l’heure sans savoir de quoi je parle : Eve est une agente des services secrets du Royaume-Uni et court après Villanelle, tueuse en série. Et ce qui rend cette série si délicieuse, c’est qu’elles sont irrémédiablement attirées l’une par l’autre… La relation est très bien écrite ; elles ont une alchimie et une tension sexuelle qui fait qu’on ne peut qu’être à fond dedans et à chacune de leurs scènes ensemble, on se régale. Même dans la dernière saison, où elles ne se croisent finalement pas très souvent, le peu de scènes qu’elles ont ensemble m’ont mise dans tous mes états…

Et si ça marche, c’est aussi parce que ce sont de très bons personnages qu’on adore voir évoluer, ensemble mais aussi séparément. Eve est à des lieux du personnage sérieux et rigide que je m’imaginais, elle est plutôt… « socially awkward » et impulsive, avec un goût pour le danger qu’elle contrôle de moins en moins à mesure qu’on avance dans la série. Et Villanelle, c’est Villanelle. Haute en couleurs, capricieuse, espiègle, elle tue de sang froid et toujours dans ses meilleures sapes.

Bref, moi, j’adore. J’ai, certes, moins aimé les derniers épisodes, mais les inégalités entre les saisons peuvent être expliqués par le fait qu’on change de réalisatrice à chaque saison ; un concept, ma foi, assez appréciable !!! mais qui peut provoquer des écarts de qualité de ce genre… Au moins, on peut espérer que la quatrième saison relève le niveau !

Bonus : la série nous fait pas mal voyager à travers l’Europe et ça m’a fait du bien quand j’ai commencé et qu’on était encore confiné-es.

Changement d’ambiance ; on passe à une série un peu plus family-friendly avec She-Ra et les Princesses du pouvoir (ou juste She-Ra, pour les intimes), remake d’une série animée des années 80, spin-off de Musclor (He-Man, en anglais).

J’ai fait la comparaison avec Killing Eve parce qu’avant de quitter l’armée de la Horde pour combattre aux côtés des princesses du royaume d’Etheria, Adora a grandi aux côtés de Catra. S’il y a toujours eu une petite rivalité entre elles, elles n’en restaient pas moins meilleures amies. Puis un jour, lors d’une mission, Adora se rend compte qu’elle est du côté des méchants qui veulent conquérir l’univers par la force et passe dans le camp adverse où Glimmer et Bow l’accueillent à bras ouverts. Accessoirement, elle découvre aussi qu’elle a le pouvoir de se transformer en la princesse du pouvoir, She-Ra, ce qui lui fait gagner quelques centimètres, une longue chevelure dorée et une épée magique bien pratique pendant un combat. Le problème, c’est que Catra refuse de la suivre, ce qui fait d’elles des ennemies ; s’en suivent plusieurs saisons où elles se retrouvent à s’affronter, sans jamais réussir à vraiment se détester.

Bien sûr, j’adore Adora et Catra, mais il y a plein d’autres bonnes raisons de regarder la série ! Un univers coloré, de l’humour, des moments plus sombres, des scènes épiques, ainsi qu’une importance toute particulière apportée à la diversité avec des personnages de toutes les morphologies, origines, genres et orientations sexuelles (et qui sont au devant de la scène, pas juste dans le background pour faire joli !). On y prône les belles valeurs que son l’amitié et la tolérance, le courage et la détermination, et ne nous laisse pas non plus en reste au niveau de l’action ; beaucoup de péripéties et de gros enjeux sont au rendez-vous (puisque, après tout, on essaie de sauver l’univers !).

J’ai très vite accroché et je trouve que c’est une série qui fait beaucoup de bien. Je la regardais en me disant que c’est typiquement le genre de choses que j’aurais aimé regardé plus jeune jusqu’à ce que je me rende compte que j’en ai toujours autant besoin aujourd’hui.

Et enfin… la série qui me hante depuis que je l’ai terminée il y a quelques jours… Les Demoiselles du téléphone, que nous, les vrai-es, on appelle Las Chicas del Cable. Pour sa première série originale Netflix, l’Espagne nous présente quatre téléphonistes dans le Madrid de la fin des années 20. Elles viennent chacune de milieux différents mais ce qui les rapproche est leur ambition, leur soif de liberté, leur volonté à s’affirmer et s’émanciper dans une société où les femmes sont encore encouragées à être mères au foyer.

Lidia vit sous une fausse identité pour rembourser des dettes (longue histoire, ça arrive aux meilleur-es d’entre nous), Marga arrive tout droit de la campagne profonde et doit encore apprendre à devenir une femme moderne, Angeles en a assez de se soumettre et se mesure à un mari violent et Carlota, issue d’une famille aisée mais surtout féministe engagée qui tient à tout prix à travailler, est constamment en conflit avec son père. Le hasard va les rapprocher et, ensemble, elles vont trouver la force de surmonter n’importe quel obstacle.

Je ne pensais pas que j’allais autant m’investir dans cette série mais j’ai développé une affection sans borne pour chacune des héroïnes et pour (presque tous) les personnages qui gravitent autour, tant et si bien que même quand la qualité de l’écriture n’était plus au rendez-vous, je ne pouvais pas me résoudre à arrêter… je voulais les accompagner jusqu’au bout ! Je me suis même laissée prendre au jeu du triangle amoureux qui lie Lidia, Francisco et Carlos… alors que ce n’est pourtant pas le genre d’hétéroniaiseries dont j’ai l’habitude.

Le problème, c’est que même si les deux premières saisons sont, selon moi, excellentes, la série commence à se casser la figure à partir de la troisième saison (avec des facilités scénaristiques improbables) jusqu’à la cinquième et dernière saison (où beaucoup de personnages ont été massacrés au sens propre comme figuré). Cela dit, même quand c’est moins bon, on a quand même du mal à ne pas enchaîner les épisodes ! C’est très divertissant, très prenant, et la série ne s’éloigne jamais de ses valeurs féministes en nous montrant toujours des femmes fortes, unies et libres qui mènent des combats qui, pour certains, se poursuivent encore aujourd’hui.

Il faut toutefois noter que la série ne compte aucun-e acteur-ice racisé-e ; peut-être que c’est le contexte historique qui veut ça (argument qui tient quand même rarement la route), mais quand on sait qu’on peut trouver des séries avec beaucoup plus de diversité, il est compréhensible qu’on préfère se tourner vers celle-ci, surtout si on recherche des personnages qui nous ressemblent. Aussi, il y a un personnage transgenre relativement bien écrit mais malheureusement interprété par une personne cis. Si on parle de féminisme, il faut quand même souligner ce genre de faux-pas.

Consciente de ses défauts, j’ai néanmoins pris énormément de plaisir à suivre cette intrigue pleine de rebondissements, de moments légers, attendrissants et amusants comme de scènes bouleversantes et déchirantes, animée par des drames familiaux, des histoires d’amour et d’amitié, des combats personnels et politiques, des secrets et des mensonges, mis en valeur par des décors et des costumes très propres (on repassera pour la musique anachronique qui divise…).

Je m’en vais maintenant regarder mon plafond en pensant à la fin et en songeant à reprendre l’espagnol.

Folklore, folklore, folklore!!!…. le seul album que je calcule, mon unique sujet de conversation, mon phare dans cette année qu’est 2020… Il s’agit évidemment du nouvel album de Taylor Swift, composé en plein confinement états-unien et annoncé seulement quelques heures avant sa sortie, à un mois seulement du premier anniversaire de son précédent album, Lover.

Les critiques s’accordent à dire que c’est son meilleur album et, si c’est vrai ou non, je ne sais pas, je serais bien incapable d’être objective, là, tout de suite, encore sous l’excitation de la nouveauté, mais en tout cas… je pense que, sous ses airs d’album indie, c’est le plus accessible. Accessible dans le sens où je sais bien qu’encore beaucoup de gens ont des a priori sur sa musique, parce que c’est de la pop, parce que c’était de la country, parce que ça parle souvent de ses ex, parce que c’est pour les filles, parce que c’est une fille, parce que c’est Taylor Swift,… mais ! cet album s’éloigne un peu de cet univers pop et flashy pour une esthétique plus hipster et automnale, une production moindre et une musique alternative, un peu indé, loin de ce qu’on lui connait mais sans doute susceptible de toucher un public plus large encore.

Si l’album, dans son ensemble, est très différent de ce à quoi elle nous a habitué-es jusque là, on retrouve non seulement « l’ancienne Taylor » sur plusieurs pistes (qui ont l’air d’être extraites de Fearless) (ça fait plaisir) mais aussi toutes les qualités qui font d’elle une parolière acclamée, notamment son art du storytelling qui brille dans un album avec un titre pareil. Elle nous raconte de belles histoires avec the last great american dynasty, seven, cardigan/august/betty (trois chansons liées entre elles qu’elle se plait à appeler le « teenage love triangle ») mais se montre aussi vulnérable sur des titres plus personnels comme invisible string (mignon), this is me trying (moins mignon) ou encore, mon préféré, my tears ricochet.

L’album est magnifique de bout en bout ; je ne sais pas si c’est le meilleur mais c’est le plus poétique et je pense que n’importe qui, fan de Taylor Swift ou pas, peut en apprécier les paroles. Oubliez vos idées préconçues si vous en avez et donnez-lui une chance !

Sinon…. autre album qui mérite une mention parce que je l’ai bien saigné à sa sortie : Ungodly Hour, du duo r&b Chloe x Halle. J’en avais aussi parlé par le passé ; elles sont tellement, tellement talentueuses !, et j’avais déjà eu quelques coups de cœur sur leur premier album mais alors là…!

L’album est excellent… Je skip systématiquement Catch Up, certes… Mais le reste ? De l’or en barre. Et pour ce qui est des représentations en live, ce n’est pas le confinement qui les arrête ; elles n’ont de cesse de nous régaler avec des mises en scène élaborées.

Je pourrais vous parler d’autres séries, je pourrais même vous parler de films!, et j’ai quand même écouté deux/trois autres trucs et aussi bien sûr un peu lu ces derniers mois mais… je garde tout ça pour un autre article ! Aujourd’hui, je voulais me concentrer sur mes coups de cœur et, maintenant que c’est chose faite, on passe à la partie où je vous raconte ma vie.

Comme j’ai délaissé le blog des mois durant, je ne crois même pas avoir déjà eu l’occasion de vous parler de mon année… mon année de merde !!! Je vous remets dans le contexte et remonte jusqu’à avant la fermeture des universités et le confinement qui a suivi peu de temps après : je suis dans ma dernière année de licence, licence LLCER japonais, et j’en ai vraiment ma claque.

J’ai le sentiment d’avoir deux cours utiles à tout casser mais à côté de ça, je sens bien que je ne progresse plus en langue, et j’ai plus de cours qu’il n’en faut de compréhension de texte et de compréhension orale déguisés en cours de civilisation où, là non plus, je n’apprends rien de concret. Je me désintéresse donc totalement de mes cours et vais à chacun d’eux à reculons. Pour ne rien arranger, je ne me sens pas spécialement à ma place dans la promo et je ne suis de toute évidence pas sur la même longueur d’ondes que la plupart de mes profs donc, chaque matin, je me lève en redoutant les inepties que je vais inévitablement entendre à l’un ou l’autre cours. Rajoutez à ça tous les problèmes typiques de la fac : organisation catastrophique, manque de communication, profs qui débarquent sans avoir ne serait-ce qu’une idée de notre niveau, emploi du temps chaotique, etc.

Ca ne s’est évidemment pas arrangé avec le confinement, une situation inédite à laquelle personne n’avait pu se préparer sur le plan pédagogique et où il a fallu très vite trouver des solutions pour continuer à assurer les cours plus ou moins normalement. Des professeur-es ont fait de leur mieux et j’en ai une en particulier qui, je pense, a fourni même plus de travail que d’habitude et s’est vraiment donné du mal pour nous faire un cours aussi proche que possible de celui qu’on avait à la fac, et pour ça, je lui en suis vraiment reconnaissante !, mais j’ai aussi eu des professeur-es qui nous ont complètement laissé-es tomber. J’essaie de rester compréhensive parce que j’imagine bien que ça devait être infernal à gérer, on était dans une situation qui ne rassurait personne et chacun-e devait avoir son lot de problèmes aussi bien professionnels que personnels mais…

Une prof nous ont laissé-es sans nouvelles pendant plusieurs semaines (elle a fini par nous donner des devoirs mais plus jamais de cours ; alors que c’était une matière très compliquée où en avait bien besoin !!!), des cours en visio où on ne faisait que passer le temps, une quantité de devoirs laissés sans correction, un cours de civilisation qui s’est transformé en cours de philosophie très pointu, bref, le bordel, et j’ai l’impression d’avoir perdu un semestre en entier parce que y’avait des cours que je n’avais tout simplement plus ! Par contre, des devoirs, j’en avais, tous les jours !, tous les jours, il y avait de nouvelles rédactions et/ou dossiers à rendre pour le contrôle continu, beaucoup de devoirs dont je ne voyais pas toujours l’intérêt ou qui, comme je l’ai dit plus tôt, n’étaient pas toujours corrigés donc ne permettaient pas de s’améliorer…

Bref, c’était très dur ! Je suis sûre que ça l’était aussi pour mes profs mais le fait est qu’on en a fait les frais et j’avais déjà des doutes quant au master mais cette période m’a vraiment confortée dans l’idée que je ne voulais pas continuer dans ces études après la licence.

A ce moment-là, je devais aussi rédiger un mini-mémoire d’une quinzaine de pages, un exercice qui ne m’a pas déplu, notamment parce que le sujet me plaisait beaucoup (j’ai parlé du travestissement chez les femmes japonaises, un sujet que j’avais déjà abordé sur mon blog!, sauf que là, je me suis concentrée sur la revue Takarazuka), mais encore une fois, je n’étais pas satisfaite au niveau de la communication et j’ai perdu l’envie d’aller plus loin et d’en faire un vrai mémoire. Aussi, j’étais de plus en plus attirée par un master professionnalisant, une perspective qui ne m’avait même jamais traversée l’esprit jusqu’à mon job étudiant qui m’a ouverte à de nouvelles possibilités. Je vous explique !

J’étais télé-enquêtrice pour un des services de ma fac et j’appelais d’ancien-nes étudiant-es pour leur faire passer un questionnaire sur leur devenir (on peut dire que j’étais un peu… una chica del cable…). Je travaillais deux heures et demi quatre soirs par semaine et trois heures le samedi matin et ça. C’était très sympa, pile ce qu’il me fallait au niveau des horaires mais aussi des dates puisque c’était seulement de janvier à mars et que ça ne débordait pas sur mes périodes de partiels. Je trouvais ça simple, pratique, et même si je suis tombée sur beaucoup de répondeurs et de personnes désagréables (mais sans doute moins qu’elles l’auraient été si j’avais appelé pour vendre un truc), j’ai aussi parlé à beaucoup de gens tout à fait sympathiques qui ont pris beaucoup de plaisir à me relater leur parcours et à revenir sur leurs années fac.

moi

J’avais une quinzaine de collègues avec qui je m’entendais très bien, une superviseuse adorable et mon employeur était, elle aussi, une femme très gentille et bienveillante. Il y a eu quelques dramaaaaas dans lesquels je n’étais pas impliquée mais dont je connaissais tous les détails et ça pimentait un peu mes soirées là-bas ! Je travaillais sur le campus, à seulement quelques minutes à pieds de chez moi, donc en général, je rentrais aux alentours de 21h. C’était une très bonne expérience que je compte réitérer si on veut toujours de moi cette année et j’en garde beaucoup de bons souvenirs et d’anecdotes rigolotes qui me sont arrivées au téléphone.

Et grâce à ça, j’ai donc aussi bien découvrir beaucoup de formations différentes, des parcours variés et même des domaines que je ne connaissais pas mais qui m’intéressaient. Ca m’avait déjà fait me pencher sur de nouvelles perspectives d’avenir mais les cours pendant le confinement ont fini de m’achever et j’étais sûre de ne plus vouloir faire un master recherche.

Pendant un moment, je me suis mis en tête de continuer mes études à Paris, et plus précisément à Paris 7 qui propose un master LLCER japonais où il est possible d’effectuer un stage au cours de la deuxième année. A ce moment-là, il me semblait vital de changer d’air, de changer de ville, d’aller loin, et j’aimais l’idée d’un stage plutôt qu’un mémoire. Ceci étant dit, comme je n’étais pas sûre d’être prise à Paris (et, surtout, pas sûre de m’y voir attribuer un logement), j’ai quand même cherché un master dans ma ville actuelle en guise de filet de sécurité, mais j’étais tellement bornée par rapport à Paris que je n’envisageais pas sérieusement de rester où j’étais. Et finalement…

J’ai trouvé un master qui me correspond parfaitement, toujours dans la même ville, mais ville avec laquelle je pense être prête à faire la paix maintenant que je me suis un peu calmée et que j’ai passé six mois loin d’elle… Encore mieux qu’un stage, il propose une alternance en deuxième année !, et il touche à plein de domaines qui m’intéressaient et qui m’ouvriront sans doute plus de porte qu’une LLCE japonais. Communication, création et gestion de contenu, web design, traduction/localisation,… je vais même pouvoir continuer le japonais, en plus petites doses, mais aussi travailler avec l’anglais.

J’ai été acceptée dans les deux masters mais quand la réponse de Paris est tombée, j’avais déjà pris ma décision depuis un moment ! Je reste donc au même endroit mais pour faire des choses très différentes qui, je l’espère, me stimuleront et me redonneront le goût aux études. Peut-être même le goût au blogging !

En effet, dans le cadre d’un projet de deuxième année, on va devoir créer un site personnel, de type blog, et, en ce qui me concerne, ça tombe plutôt bien !!! Et dès la rentrée, j’aurai des cours où on utilise WordPress.org (différent de WordPress.com que j’utilise actuellement) ; ça sera peut-être l’occasion pour moi d’avoir un serveur et de m’auto-héberger, ce qui réglerait plein de problèmes dont je vous ai parlé dans mon dernier slice of life, notamment celui de l’espace de stockage ! Là, je n’aurais plus jamais à m’en inquiéter et, en prime, j’aurai plein d’autres avantages qui me rendront la vie sur Otome Street bien plus facile et que je n’aurais même pas eu en achetant le plan personnel hors de prix proposé par WordPress.com. Ca serait donc vraiment top si ça pouvait se faire !

En attendant, je vous souhaite déjà une très bonne rentrée à toutes et à tous (n’hésitez pas à me raconter ce que vous faites cette année et comment s’est passé votre premier jour !!) et je ferai en sorte qu’on se retrouve très bientôt !

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